16.

647 47 3
                                    

PULCHERRIMAA_ PRODUCTION ©️.

—

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

J'avais les nerfs comme pas possible.

Je m'étais réveillé de mauvaise humeur alors j'allais être énervé pendant un sacré moment.

Cette nuit Eléa n'a pas trouvé mieux que de m'appeler et me crier dessus comme si j'étais son gosse. On s'est disputés et je sais pas ce qu'il s'est passé dans sa tête mais elle s'est permise de m'insulter.

Alors déjà que je déteste qu'on me réveille si c'est pour m'embrouiller c'est encore pire.

Donc ni une, ni deux je suis retourné chez moi or que c'était pas ça du tout les plans que j'avais pour aujourd'hui.

J'ai même pas pris la peine de sonner parce que sinon j'aurai gâché l'effet surprise de ma visite.

Tout était calme comme si personne ne vivait ici pourtant je sais qu'elle n'est pas sortie parce que le samedi c'est généralement le jour où on passe la journée ensemble.

Et étant donné l'embrouille qu'on a eu, je me doute qu'elle soit sortie. J'en suis même certain qu'elle est ici.

Je l'ai surpris au salon, téléphone en main, couverture sur elle et avec une vidéo de sa youtubeuse préférée à la télé.

— Tu criais sur qui toi au téléphone ?

Elle a sursauté puis a mis pause à sa vidéo.

Eléa — Tu m'as fait peur... Je savais pas que tu venais.

— C'est fait exprès. Maintenant réponds à ma question.

Eléa — J'ai mal à la tête alors s'il te plaît arrête d'hausser le ton sur moi.

— T'avais pas la même énergie cette nuit pour m'agresser. C'est la première et dernière fois que tu fais ça t'as compris ? Me force pas à devenir méchant.

Eléa — Tu vois ? C'est ça que j'aime pas chez toi, on peut pas discuter tranquillement avec toi.

— Tu te fous de moi ?

Eléa — Non pas du tout. On a déjà parlé cette nuit donc je comprends pas pourquoi t'es là ?

— *rire nerveux* Cette maison m'appartient alors si je veux venir je viens, c'est toujours chez moi et à ce que je sache je suis vivant. Et puis j'avais énormément de choses à te dire.

« Est-ce nécessaire d'aimer ? » [II].Où les histoires vivent. Découvrez maintenant