24. Dernier chapitre

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17 h, couloir des dernières années

Non mais sérieux ! Heeseung n'a fait que parler de porno pendant les heures restantes ! Comment vous voulez que ça ne m'existe pas ! En plus, Beom avait posé sa main sur ma cuisse et la bougeait de temps en temps ! Vous me comprenez ou pas ?! Enfin bon. Du coup, actuellement, je suis avec Beom marchant dans les couloirs, main dans la main.

Beom : oh, attends ! Comme on est un peu fou tous les deux... Je connais un endroit parfait pour fêter notre réussite de couple.

Moi : ici ? ... Bon ok, je te suis.

Beom : ça va t'exciter !

Je rougis immédiatement étant donné que nous ne sommes pas seuls dans le couloir et que j'ai peur qu'on nous suive ou autre. Mais bon, ce n'est pas pour autant que je ne le suis pas. On arrive au bout de quelques secondes devant une porte avec un panneau : "Interdit au public sauf personnel". Il l'ouvre et il me tire avec lui pour s'engouffrer dedans avant qu'il ne referme cette porte rouge bordeaux derrière nous. Je décide de m'aventurer dans cette pièce sombre, mais comprends directement que c'est juste un placard de 50 cm de profondeur, je dirais. En gros, on est à l'étroit. Je réalise qu'on n'a pas beaucoup de temps avant de reprendre les cours.

Moi : qu'est-ce que tu veux faire exactement ?

Beom : baise-moi.

Moi : ici ? Au risque que tu te prennes un balai et non ma bite dans ton fion ?

Il rigole et moi de même. Il chope mes joues de ses mains et m'embrasse sauvagement. Je lui réponds de la même manière avec mon excitation qui se fait de plus en plus présente. Je décide de lui baisser son pantalon et son caleçon par la même occasion. Il me regarde surpris, mais sourit.

Moi : je n'ai pas de capote.

Beom : tant pis. Je n'ai fait qu'avec toi.

Moi : et moi ça fait longtemps que je n'ai pas fait avec quelqu'un d'autre que toi.

Beom : bon, cesse de parler et baise moi.

Je le regarde choqué et sourit malicieusement. Je baisse mon pantalon et Beom m'aide pour le caleçon. Il rigole face à mon érection déjà bien créée. Je le regarde et positionne mon gland devant son entrée déjà un peu étirée par la séance d'équitation d'avant-avant-hier. Il respire vite, sa bite se dressant également. Je m'enfonce ce qui lui fait lâcher un petit gémissement. Je l'embrasse en même temps que je l'encule. Il m'aide en se tenant par mes épaules pour se lever et descendre sur ma bite en lui. Je le tiens par la taille le faisant se rapprocher de moi. Je quitte ses lèvres pour aller lui suçoter le cou. Il respire fort. Il enlève sa main droite de mon épaule pour aller se masturber la bite le faisant gémir à son toucher.

Beom : il faut qu'on fasse vite.

Moi : t'inquiètes, je suis... Doué à ça.

Je me sens venir. Je suis à bout de souffle. Entre mes coups de reins et mes mains le tenant par la taille, là, c'est clair, je fais du sport !

Je respire plus vite et plus fort. Je regarde Beom se branler à une de ses vitesses que je ne me sens pas venir et j'éjacule en lui. Je grogne de soulagement en me retenant de crier. Ma tête part en arrière et rencontre le bois dur de la porte. Beomgyu éjacule peu de temps après et m'embrasse pour gémir en silence. Je le lève une dernière fois pour me retirer de lui et le repose au sol. Ma bite retombe dans un bruit humide contre mes testicules. Je réussis à remonter mon caleçon au moment où la porte s'ouvre. Je ne sais pas qui est derrière moi, mais vu la tête de Beom, j'imagine qu'il y a de quoi être gêné.

??? : sérieusement les jeunes ! Vous ne pouvez pas faire ça ailleurs qu'ici ? Dans un placard à balais ? Rhabillez-vous et sortez de là !

Nous : pardon...

Le monsieur du ménage : oui, bah, vous irez dire vos excuses au Proviseur.

Il se retourne et j'aide Beomgyu à se rhabiller et je remets mon pantalon. Une fois habillé, on sort gêné de la situation, mais à quelques secondes prêt, on aurait joui devant lui. Brrr... Beurk.

Il ferme la porte à clé avant de nous prendre les bras et de se placer entre nous. Les élèves présents dans le couloir nous observent sans rien dire ou avec des chuchotements. En marchant le gars nous regarde un par un et se stoppe. À ce moment-là, la sonnerie retentie et il nous demande :

L'homme de ménage : c'est qui le bottom ?

Beomgyu devient rouge ce qui lui donne la réponse. Il regarde alors droit dans les yeux Beomgyu.

L'homme de ménage : il est bon ?

Moi : mais ça ne vous regarde pas !

L'homme de ménage : je ne t'ai pas posé la question !

Je me tais même si j'ai envie de lui répondre, je me dis qu'on va déjà se prendre une raclée par le Proviseur donc je préfère ne pas en rajouter.

Beomgyu rougit encore plus et réussit même à s'étouffer. J'imagine qu'il a avalé de travers... Je rigole légèrement et le gars également. On arrive au bureau à la porte grande ouverte. Le proviseur nous invite à rentrer ce que l'on fit et on s'assoit après l'avoir salué.

Le proviseur : alors, dîtes moi ce qu'il s'est passé Yibo ?

L'homme de ménage : j'ai surpris ces deux élèves dans un placard de balais assez étroit pour les deux.

Le proviseur : et j'imagine qu'il ne jouait pas à cache-cache.

Je rigole face à cette interprétation et je reçois une petite gifle à l'arrière du crâne.

Le proviseur : vous êtes quand même censé savoir que ce genre d'activité n'est pas autorisé dans cet établissement ? Comme dans tout les autres, hmm ?

Nous : oui.

Le proviseur : bon... Comme ce sont bientôt les vacances de Noël, vous serez punis pendant 1 mois. Les derniers jours, qui restent de ce mois avant les vacances et après le mois complet de janvier. Votre punition sera de nettoyer les toilettes après chaque fin de journée.

Moi : tous les jours ?

Le proviseur : oui. Pourquoi ça pose problème ?

Moi : et bien, j'ai cours de danse le mardi et jeudi soir à partir de 19 h 30. Et je finis à 18 h ces jours-là...

Le proviseur : haaa... C'est vrai que c'est toi. De plus, je crois que tu donnes des cours à des Idoles si je ne me trompe pas.

Moi : oui, c'est ça.

Le proviseur : tu as un cours à donné ce soir ?

Moi : je ne sais pas. Généralement, on me prévient à la sortie des cours.

Le proviseur : bon... Dans ce cas, Beomgyu, tu feras les toilettes le soir et Yeonjun, tu feras les vestiaires dès le matin à partir de 6 h. Ça te va comme ça ?

Moi : oui, le matin, je n'ai pratiquement pas de cours.

Le proviseur : parfait. Bon, donnez moi vos carnets pour que je vous fasse un mot de retard. Ensuite, vous pouvez retourner en cours. Beomgyu n'oublie pas de venir voir Yibo à l'entrée pour qu'il t'explique ce que tu dois faire. D'accord ?

Beom : ou... oui monsieur.

Le proviseur : bien. Vous pouvez y aller.

On se lève et il nous rend nos carnets qu'on lui a passés plutôt. On le salut et nous nous dirigeons vers nos salles de cours en riant nerveusement.

FIN

Yeonjun's choicesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant