J'ai ouvert la porte, il était complètement stoïque. « Qu'est-ce qu'il se passe ? », « Rien », il avait l'air tellement.... bizarre. Sa grosse veste lui arrivait jusqu'au menton, il était mignon à en mourir avec son petit sourire et sa petite fossette.
Nous sommes montés dans ma chambre, je ne pouvais pas m'empêcher de sourire. Il allait passer la nuit ici, alors ?Je sautais de joie intérieurement. « Harry, tu m'écoutes ? », « Hein, oui, quoi ? ». Il est entré en premier, je l'ai suivi et j'ai fermé la porte derrière moi. « Je suis vraiment.. », je n'ai pas pu finir, il était déjà en train de m'embrasser violemment, ses mains sur mes joues, mon dos plaqué contre la porte. Oh mon dieu, il a introduit sa langue et je l'ai suivi. Il embrassait tellement bien, j'adorais ce contact : nos lèvres et langues collées. Il a passé sa langue sur mes lèvres, a déposé quelques bisous sur ma joue gauche et a fini par embrasser mon cou. Ma tête était légèrement tombée en arrière, je devenais sérieusement chaud. Il a reposé ses lèvres sur mes lèvres et ses mains tenaient à présent mon bassin. Ses coups de langue s'accéléraient, tout mon corps entier le désirait à en mourir à présent.
Sa main est doucement descendue vers mon entre-jambe et il a pressé dessus. J'ai poussé un gémissement muet. Il ne m'avait pas lâché, il avait pressé encore une fois mes parties, encore un peu plus fort. J'étais chaud.
Je me suis décollé de la porte, j'ai enlevé mon gros sweat et il a fait de même pour son énorme veste. Son regard ne quittait jamais le mien, il souriait légèrement, il était tellement magnifique. Je me suis approché de lui et nous nous sommes embrassés le plus doucement possible. Nos lèvres se confrontaient sans violence, ma langue enlaçait la sienne. Aucun contact physique, juste nos deux bouches. « Dit quelque chose », j'ai souri en lui déposant un bisou sur les lèvres. « Tu veux que je te dise quelque chose ? », « Ouais », il s'est allongé sur mon lit, les mains derrière la tête. Je me suis assis sur le rebord. « Déshabille-toi ? », j'ai senti des bras m'entouraient par les épaules. Il m'avait attiré contre lui et m'avait murmuré à l'oreille : « Tu vas hurler mon prénom » avant de rire et une vague de chaleur immense et incroyable a traversé mon corps. Putain, putain, putain. « Qu'est-ce que t'attends, alors ? Monsieur je me débrouille bien au lit », il a ri. Et puis, deux secondes plus tard, il se trouvait au-dessus de moi.
Il s'est mis torse nu et mon regard a virevolté sur sa peau. Il avait encore un peu maigris, il a posé ses lèvres sur les miennes et tout est a commencé. L'ambiance était devenu intense, presque animale. On ne s'arrêtait pas de s'embrasser, il avait déjà commencé ses vas et viens collant nos deux entre-jambes et mes petits gémissements ont débuté. Il a enlevé son t shirt et avait déposé ses mains sur mes cheveux. Mon buste était relevé, nos langues s'adonnaient à l'autre et il continuait de faire frotter nos sexes. Mes mains étaient posées sur ses cuisses, de sorte à le pousser encore plus à toucher mon sexe avec le sien. Nous étions torse nu, il sentait horriblement bon. Tout était rapide : nos baisers, ses vas et viens et nos mouvements.
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J'étais sur lui, je sentais son érection nu contre moi et lui sentait la mienne. L'ambiance s'était apaisé, nous avions mis longtemps avant de nous déshabiller complètement. Je l'embrassais doucement, il jouait avec mes cheveux, j'avais de plus en plus envie de lui. Je savais qu'il allait être au-dessus, j'appréhendais un peu. Ça allait faire mal, surement, très certainement. Ses mains sont descendues sur mes fesses, j'ai fait frotter nosverges. Il m'a souri, ses mains sont remontées sur mes cheveux. « C'est dingue... », « Quoi ? », « Il y a genre trois mois, c'était à peine si on se regardait », j'ai grandement souri. La vie était surprenante parfois. « On doit remercier le prof de physique alors ? », il me fixait du regard. « T'es beau », « Je sais », il a tiré sur mes cheveux, son sourire était magnifique. J'ai rigolé, mon menton posé sur son torse. « Je t'aime », mon esprit s'était directement stoppé. Je n'étais pas censé le dire, pas maintenant, pas tout de suite. Qu'est-ce que ? Je rigolais et ces mots sont sortis tout seul, sans que je ne les contrôle.
Pour changer de sujet, j'ai déposé un baiser sur ses lèvres, son cou puis j'ai commencé le long chemin jusqu'au bas du ventre. Il tenait toujours mes cheveux. J'ai pris son sexe en main, je le masturbais gentiment, il gémissait doucement. J'ai continué de frotter sur la longueur en déposant le haut de sa verge dans ma bouche. Et j'ai commencé. Je suis allé de plus en plus vite avec ma main tout en l'ayant en bouche, il poussait des petits cris, il tenait mes cheveux fermement et je continuais. Entendre mon prénom dans sa bouche pendant que je l'avais en bouche, c'était... « Harry.. », j'ai accéléré, le prenant encore un peu plus en bouche, avec mes allers et retours. « HARRY », j'aimais la sensation que je le procurais. Mes mains ont finis par se poser sur ses hanches, ma bouche toujours en action. Je faisais du mieux que je pouvais, réellement. Ses mains ont tirés doucement sur mes cheveux : « Ha..Harry », je continuais toujours, en poussant encore un peu plus à chaque fois. « HARRY », sa voix résonnait dans mes oreilles, j'aimais lui faire du bien. J'ai repris son sexe en main vers le bas et j'ai continué, encore et toujours à sucer sa longue verge.
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« Niall », j'enfonçais mes doigts dans sa peau, il continuait d'aller vite en moi. « Ni...Niall », ma voix se faisait calme, j'essayais de me retenir d'hurler de plaisir et de douleur. C'était un mélange des deux. Niall me tenait par les joues et accélérait ses mouvement d'allers-retours en moi, nos baisers furent toujours coupés par un gémissement ou un petit cri, surtout de ma part. Il me regardait droit dans les yeux. Parfois, il attrapait de ses mains le haut de mon lit pour accentuer encore plus ses mouvements en moi, ce qui me rendait dingue. Mes mains se trouvaient sur son dos, et souvent sur sa nuque. J'ai fermé les yeux, et me suis concentré sur la grosse verge qui était actuellement en moi et qui me faisait hurler de plaisir. J'ai crié assez fort, il touchait le point culminant. Il continuait d'embrasser mes lèvres, de mélanger nos langues et de déposer sa bouche sur mon cou. Il continuait de s'enfoncer en moi, comme jamais et désormais je gémissais à haute voix. Je criais son nom, j'accrochais son dos et je savourais cet instant. Je me concentrais sur lui, sur son corps, sur ses yeux et je me laissais faire. Il a doublement accéléré, je perdais pied. Il touchait profondément là où ça me rendait euphorique. Il a effectué un dernier mouvement ravageur et a éjaculé en moi. Nous avions tous les deux gémit fortement à ce moment-là. Il était tellement beau.
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« Sérieusement Niall ? », « C'est vraiment marrant, allez », « T'as déjà fait ça avec tes ex ? », nous étions tous les deux allongés sur le dos, en caleçon, les mains derrière la tête. « Non », « Commence alors », « T'es sur ? », j'ai rigolé de nervosité. J'attendais de voir ça, je voulais voir ça de mes yeux. « Ouais, vas-y », « Ok », il s'est raclé la gorge et a commencé à imiter un orgasme. Il allait de plus en plus fort dans son imitation, j'étais totalement mort de rire à côté. « Alors ? J'étais comment ? », « Je suis pas comme ça en tout cas », « Si, t'as été exactement comme ça il y a vingt minutes », je l'ai poussé par le bras. « N'importe quoi », il a ri et a posé sa tête contre mon épaule droite. Il y a vingt minutes, j'étais pire que ça.
Chaque minute qui passe sont des minutes en moins.
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Destruction
De TodoLa plus belle chose qui ne vous est jamais arrivée devient très rapidement la plus pire. #Narry