Echec Et Mat - Armin X Reader [EN PAUSE]

CHAPITRE 12

/// NDA : Les coincés et étriqués d'esprit, au revoir 👋🚪Les autres bonne lecture ❤️ ///

🌼🍃

Après une nuit bien particulière, je m'éveillai doucement en prenant soin d'étirer tous mes membres dans le grand lit encore enveloppé de la chaleur de nos corps.

Mon buste pivota du côté de la place d'Armin qui s'avérait déserte.

Etonnée, mes jambes poussèrent la couette pour me permettre de me lever bien que ma démarche se révélait titubante ou du moins engourdie.

Je passai mes doigts dans mes cheveux emmêlés pour leur donner un semblant de présentabilité puis je nouai mon kimono noir en satin après m'être débarrassé de la chemise qui me servait de pyjama.

J'avais tout de même pris soin de revêtir des sous-vêtements.

D'un pas indolent, je me dirigeai en direction de la modeste salle de bain attenante à ma chambre.

Ma dextre ouvrit la porte et instantanément la chaleur de la vapeur émanant de la douche me happa.

Mon beau blond apparu immédiatement dans mon champ de vision.

Mon cœur accéléra sa cadence en détaillant sa tenue qui se composait uniquement d'un jogging gris.

Il était dos à moi, face au miroir pour peigner ses cheveux blonds courts mais assez long pour former des mèches douces comme la plus noble des soies.

Mes iris s'attardèrent un instant sur la musculature de son dos tracée au détail près.

Ses épaules larges surplombaient des trapèzes dont on pourrait dessiner le contour du bout des doigts.

Quant au bas de son dos, il ne dérogeait pas à la magnificence du reste de son anatomie puisqu'il terminait parfaitement la chute de ses reins mettant en valeur son séant rebondi.

Je commençais sérieusement à avoir chaud dès le matin, je le trouvais beaucoup trop attirant.

L'odeur enivrante de parfum masculin boisé n'aidait en rien à calmer mes hormones qui s'enflammaient tel un brasier prêt à réduire mon corps en cendres.

A pas de loups, je m'approchai pour entrer dans son champ de vision à travers le miroir.

Un sourire taquin s'afficha sur ses lippes dès qu'il me vit.

Armin : Tu n'as pas besoin de te cacher tu sais, ricana-t-il en comprenant que je le dévorais du regard comme une affamée.

Au même moment il se retourna pour me faire face.

Erreur, il me déstabilisait encore plus.

Une fois presque à sa hauteur, je me stoppai pour admirer son torse sculpté.

Les Dieux grecs n'avaient qu'à bien se tenir.

Les pectoraux d'Armin débutaient le tableau de l'œuvre de son abdomen.

Ils étaient musclés sans être dans l'excès.