Echec Et Mat - Armin X Reader [EN PAUSE]

CHAPITRE 19

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Il était 7h00 lorsque je pressai le bouton de la machine à café Nespresso dans notre vaste cuisine moderne.

Mes yeux se perdaient sur la vue imprenable que nous avions grâce au penthouse dans lequel nous vivions.

Les premiers rayons de soleil illuminaient gracieusement la ville de Stohess que les gratte-ciel protégeaient précieusement.

Un sourire s'esquissa sur mes lèvres malgré les nausées aléatoires dont j'étais victime depuis le milieu de la nuit.

Je m'étais levée en catastrophe vers 4h du matin en prenant soin de ne pas réveiller Armin mais au final je n'avais pas vomis.

J'avais sûrement dû prendre un mauvais coup de vent hier soir lors de l'horrible course poursuite.

Je pris en main ma tasse fumante et partis m'installer sur l'immense canapé d'angle en cuir italien.

L'odeur exquise du café me réconfortait agréablement.

Je chérissais particulièrement ces moments hors du temps qu'offraient le matin à ses premières heures.

D'autres effluves vinrent remplacer celles du café.

Il s'agissait de celles du parfum de mon petit-ami qui sortait fraîchement de la douche.

Il entra rapidement dans mon champ de vision et cette dernière ne fut pas pour me déplaire.

Il portait son pantalon de costume noir réglementaire et s'afférait à nouer les boutons de sa chemise ivoire.

Il la coinça ensuite dans son pantalon pour pouvoir serrer sa ceinture.

Les veines sur ses mains ressortirent délicieusement au moment où il tira sur la sangle de ladite ceinture.

De bon matin je ne pu m'empêcher d'avoir des pensées pour le moins salaces tout en sirotant innocemment mon café.

Mon beau blond le remarqua puisqu'il afficha un sourire en coin quand il constata mon regard prédateur.

Armin : Bonjour mon amour, bien dormis ? s'enquit-il en me rejoignant sur le canapé.

Je ne pu mentir sur mon état.

Dès que ses iris bleus croisèrent les miens, je savais que peu importe ma réponse, il détecterait la vérité.

Moi : Pas terrible, j'ai eu quelques nausées.

Ses sourcils se froncèrent légèrement à l'entente de ma réponse.

Il déposa sa main veineuse sur ma cuisse avant de renchérir.

Armin : Des nausées tu dis ? Hmm...

Moi : Oui j'ai dû attrapé un coup de froid hier soir ou alors c'est la fatigue et les récents évènements, tentais-je de justifier sans le convaincre.