Echec Et Mat - Armin X Reader [EN PAUSE]

CHAPITRE 28

☀️🌛

🎵 Tia Tamera - Doja Cat 🎵

Deux semaines s’étaient écoulées depuis les évènements liés au meurtre de la troisième victime d’une série de trois.

Je ne savais pu sur quel pied danser avec Armin qui passait son temps à souffler le chaud et le froid comme si une force obscure prenait possession de lui à certains moments.

Je mettais cela sur le dos de la charge de travail qu’Hange lui mettait sur le dos. Le matin il était adorable, le midi irritable et le soir de nouveau souriant.

Je commençais à me demander si ce n’était pas moi qui était en proie à des soucis mentaux.

Bref.

J’étais actuellement en train de me préparer pour le colloque universitaire où l’intervention d’Erwin et moi était attendue par les étudiants en première année de criminologie. 

Je prenais soin d’être présentable.

Le commissaire m’avait annoncé que le soir-même aurait lieu un banquet à l’occasion duquel nous allions pouvoir échanger de manière plus détendue avec les étudiants.

Nos collègues nous rejoindraient pour compléter l’équipe.

J’enfilais un pantalon de tailleur blanc cassé taille haute sur laquelle je nouais une jolie ceinture de la même teinte pour mettre en valeur mes hanches.

Je revêtais une chemise blanche presque beige en ne boutonnant pas les deux boutons du haut afin de ne pas paraitre sévère.

Pour compléter l’ensemble de mon look aux teintes claires, j’ajoutai un blazer oversize blanc ivoire.

Bien sûr je chaussais mes escarpins fétiches de couleur beige de la maison Yves Saint Laurent.

Du côté de mes cheveux, je les avais laissé libre. Ma montre Cartier au fin bracelet en cuir marron ornait fièrement mon poignet.

Je vaporisais mon parfum la Petite Robe Noire de manière stratégique puis descendis enfin les escaliers menant à la pièce de vie de notre penthouse.

Armin était déjà parti au travail mais il avait pris soin d’aller chercher des croissants.

Je grignotai rapidement en buvant un simple verre de jus de fruits.

Je me contemplais rapidement devant le miroir de plein pied avant d’attraper mon sac à main Céline pour partir à mon tour.  

Je m’étais rarement aussi bien apprêtée et j’étais assez fière du résultat classe et professionnel qui ressortait.

J’avais accroché mon badge SBI à mon blazer à hauteur de poitrine.

Ravie, j’empruntais la sortie du couloir menant à l’ascenseur.

Ce dernier me mena au rez-de-chaussée en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire.

Dans le hall, le gardien asiatique me salua respectueusement. Je lui rendis son geste.