Echec Et Mat - Armin X Reader [EN PAUSE]

CHAPITRE 15

/// NDA : Hello !! Un gros chapitre pour vous ! Beaucoup de travail en ce moment, compliqué de trouver du temps pour écrire...Bonne lecture ❤️ (n'hésitez pas à commenter, voter) ///

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Ca y est, nous franchissions pour la première fois les imposantes portes vitrées du siège du SBI où nous allions passer le reste de notre carrière.

Les uns comme les autres nous avions une boule au ventre intarissable à l'idée que notre destin allait se sceller ici même.

L'excitation était bien évidemment présente aussi puisqu'après tout nous avions parcouru tout ce chemin pour arriver là.

C'est donc avec fierté que notre petite troupe se stoppa devant l'immense ascenseur impeccablement brillant.

Connie : Bon les amis, nous y sommes, que le sort puisse nous être favorable, déclara-t-il d'une voix solennelle malgré son sourire en coin.

Eren : Il peut pas être sérieux 2 min celui-là, répliqua le grand brun en soufflant ce qui fit virevolter les petites mèches sur son front halé.

Enfin, l'ascenseur nous accueillit dans son antre où nous tenions tous au regard de sa superficie.

Armin se tenait à côté de moi mais nous restions professionnels.

Notre ami au crâne dégarni semblait beuguer devant le vertigineux nombres de boutons correspondant aux étages.

Connie : C'est quel étage déjà ?

Eren lui asséna un coup sur la tête qui sonna creux.

Eren : Toi je te jure, ils ont fait une belle affaire en te recrutant ! le jugea-t-il en appuyant brutalement sur le bon bouton.

Le brun aux yeux émeraudes ne pu s'empêcher de s'esclaffer devant l'étourderie de Connie.

En tous cas, nous avions tous fière allure avec nos tenues réglementaires.

Pour le bureau, les hommes avaient obligation formelle de revêtir un pantalon de costume, une chemise blanche de préférence, une cravate, un veston noir et un blazer.

Bien sûr ils pouvaient ôter le surplus selon la température.

Pour les femmes, le tailleur était de mise que ce soit jupe ou pantalon, le choix était permis pour notre plus grand soulagement.

De la même façon que les hommes, nous devions porter une chemise blanche assortie éventuellement d'un blazer.

Du côté des chaussures, nous possédions des escarpins de hauteur raisonnable.

Le bip de l'ascenseur, nous annonçant qu'il était arrivé à destination du bon étage, retentit vivement à l'image d'un glas sinistre.

A l'unisson nous inspirâmes une grande bouffée d'air avant de cheminer en direction du bureau d'Erwin SMITH.

En plus courageuse, Mikasa cogna contre la surface en acier renforcé de la porte.