Chapitre 17

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PDV Rina :

On était aller mangé pour ensuite aller dehors.

Et comme on l'avait dit, on avait jeté des cailloux sur des fenêtres et là on était poursuivit par une vieux fou qui l'avait un peu trop pris à cœur.

On finit par se cacher derrière un buissons pendant que le mecs courrait encore.

Baji : Ça fait la quinzième fois qu'on se fait poursuivre comme ça.

Moi : Et je crois que lui ça fait deux fois.

Baji : Si on veut faire un footing, on sait quoi faire.

On entendit son téléphone soner, il décrocha pendant que je regardais si le fou était loin.

Baji : Meuf, il y a un combat avec le Toman qui vas commencer, je dois y aller.

Moi : Mais un combat c'est pas censé être planifier ?

Baji : Si,mais apparemment on nous a attaquer par surprise.

Moi : Cette fois c'est pas de notre faute.

Baji : J'avoue, bon tu veux venir avec moi ?

Moi : T'es taré, je veux pas mourir.

Baji : Tu vas juste regarder.

Moi : Même.

Baji : Bon, bah tu m'attends chez moi.

Moi : Ok, en plus j'adore ta mère.

Baji : Je pensais que t'allais jouer a la console mais si tu veux.

Moi : Quoi ? J'aime bien parler avec ta mère elle est incroyable.

Baji : J'ai l'impression que t'es obsédé par elle.

Moi : Un tout petit peu.

On rentra chez lui, il se changea avec l'uniforme du Toman et repartit pendant que je parlais avec sa mère dans ma cuisine.

PDV Mikey :

Le reste du gang arriva, on était près à se battre contre le Moebius.

La combats s'enchaînèrent, je battais tout le monde mais j'entendis un cri.

La voix de Takemichou crié le nom de Kennychou.

Je regarda en sa direction et vit mon meilleur ami au sol dans une marre de sang.

Il avait été poignardé.

J'essayais tant bien que mal d'aller vers eux mais c'était impossible.

Des membres du gang Moebius m'en empêchait.

Moi : Takemichou ! Appelles une ambulance et emmènes Kennychou loin d'ici !

Il mit un peu de temps, mais il se mit à faire ce que je lui ai dit.

Les choses commençaient à être tendu, je commençais à perdre espoir mais une ombre arriva.

Je la reconnaîtrait entre mille.

Celle de Ange.

Il arriva en donnant un coup de pieds à un des mecs qui me gênait.

Ange :Me dit pas que tu commences à abandonner ?

Je ne répondis rien, il avait raison.

Ange : Allez ! Te laisses pas abattre, si tu tombes c'est pour te relever. Maintenant que t'es tomber restes plus qu'à te relever.

Lady Haitani Où les histoires vivent. Découvrez maintenant