Chapitre 41

1.5K 95 152
                                    

PDV Rina :

Moi : Je veux pas les voir moi !

Saori : Il le faut Rina, si tu viens avec moi Ils se rendront compte que tu es mieux avec moi.

Moi : Imagine ils me kidnappent.

Saori : Mais c'est tes frères.

Moi : Ouais, mais c'est les Haitani.

Saori : T'as pas tord. Mais t'es pas obligé de leur parler, si c'est ça qui te déranges, tu peux juste venir. T'auras même pas besoin de les regarder.

Moi : D'accord, on va les voir quand ?

Saori : À 20h, à la décharge.

Moi : C'est bien, ils sont dans leur élément.

Saori explosa de rire.

Moi : Il y a quand même mieux comme blague.

Saori : C'était nul, mais je m'y attendais pas, c'est ça qui est drôle.

On finit par regarder une série, allongé sur le canapé.

Saori : Rina, j'ai appris pour Baji, je suis désolé.

Moi : Il me manque beaucoup.

Saori : Vu que tu étais là bas, tu l'as vue mourir.

Moi : Oui, mais ça va.

Je me rappela des dernières phrases de Baji

Moi : Putain les lettres.

Saori : Les lettres ?

Je me releva et partit ouvrir la porte d'entrée.

Moi : Je reviens, il faut que j'aille chercher quelque chose !

Et partis sous le regard interrogateur de Saori.

Je courra jusqu'à l'appartement des Baji, je sonna à la porte et elle s'ouvrit sur la seule personne qui vivait encore là.

Maman Baji : Rina ? Qu'es que tu fais ici ?

Moi : Bonjour maman Baji, désolé de vous déranger, mais votre fils m'avait demandé de récupérer des lettres, es se que je peux aller dans sa chambre ?

Maman Baji : Biensûre, après si tu veux récupérer autre chose, tu peux, enfin demande moi avant, car il y a des choses que je veux garder.

Moi : Je comprend, et merci, c'est gentil.

Elle me laissa entrer et je partis dans sa chambre.

Les lettres sont dans son armoire.

Je l'ouvra, et vit une boîte à chaussures sur une étagère

Je la pris et la posa sur son lit.

Je l'ouvris et vis des lettres.

Je pu comprendre qu'il y en avait une pour Mikey, une pour Draken, une pour Mitsuya, une pour Chifuyu, une pour Pachin, une pour Kazutora et une pour moi.

J'en connais une qui va devoir faire une visite en prison.

Je ferma la boîte, la pris et regarda la chambre.

Mon regard se posa sur un briquet, il devait sans doute servir à Baji pour brûler les voiture.

Je pris l'objet et je me souvins de la lettre qu'on avait écrit avec Baji pour la prof d'anglais.

Je chercha dans le tiroir de sa table de nuit et la trouva.

Je partis ensuite retrouver maman Baji

Moi : Madame, je peux prendre ça.

Lady Haitani Où les histoires vivent. Découvrez maintenant