Chapitre 34

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PDV Rina :

Moi : Bon, si tu veux pas parler de ça, on va parler d'autre chose. De quoi tu veux parler ?

Baji : De ta mort qui sera dans exactement trois secondes.

Moi : Un autre sujet. Tu te rappel de la liste de conneries qu'on a faite.

Baji : On a même pas fait le quart.

Moi : c'est vrai. Dommage je voulais qu'on rase le chat de Chifuyu pour faire une teub.

Baji : Il nous aurait déglingué.

Moi : Mais tellement ! On devait faire quoi d'autre ?

Baji : Envoyer une lettre d'amour à la prof d'anglais.

Moi : Viens on le fait.

On se leva de son lit et prit une feuille et un stylo pour noter cette lettre d'amour.

« Madame, votre beauté m'éblouie, tel un soleil de nuit. Allons élever des chèvres ensemble et vivons la vie de rêves, loin de ces élèves qui n'en valent pas la peine.
Je vous aime...
Signé : Votre futur mari »

Moi : T'es grave un poète en fait.

Baji : Merci beaucoup.

Bien sûre c'est moi qui ai écrit et lui me dictait, parce qu'avec toute ses fautes d'orthographes la prof aurait reconnue que c'est lui.

Moi : On la mettra dans son casier après les vacances.

Baji : Première fois que j'aurais hâte d'être à la rentrée.

Moi : J'avoue.

On finit par discuter des cours, des conneries à faire et de celles qu'on a faites, et en se rappelant de quelques souvenirs ensemble.

Baji : Tu sais quand on étais sortit la nuit avec le groupe et que t'avais fait une ref à monsieur Koro.

Moi : Tu te rappel de ça toi ? T'as une bonne mémoire.

Baji : Sauf pour les cours. Bref, bah je vais t'avouer un truc j'ai jamais regardé.

Moi : Quoi ? T'as jamais regardé, mais c'est quoi ce crime !

Baji : Calme ta joie.

Moi : Faut que tu regardes.

Baji : T'as cas rester dormir ici et on regarde ensemble.

Ça me rendit heureuse qu'il me propose de rester dormir ici, ça prouvait qu'il me considérait encore comme une amie.

Je hocha la tête et il partit demander à sa mère, et elle accepta, par la suite je pris mon téléphone et envoya un message à Saori, même si elle n'avait pas l'intention de rentrer à la maison.

Baji prit son ordinateur et s'installa sur son lit et je m'allongea à côté de lui.

Baji : Ça s'appel comment l'anime déjà ?

Moi : Assassination Classroom.

Baji : C'est fouchelangue ton truc.

Il lança l'anime et on regarda tout en commentant ce qu'il se passait.

On fit une pause pour aller manger et on revint dans sa chambre pour continuer de regarder.

*Quelques heures plus tard*

Les larmes coulaient sur mes joues, Baji, lui, avait les larmes aux yeux.

Baji : C'est ignoble de faire subir ça à quelqu'un, t'es horrible.

Lady Haitani Où les histoires vivent. Découvrez maintenant