Chapitre 28 : love you

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(Musique : Sure thing - Miguel)

Fengari.

Mardi 1 juillet 8h10.

Après dix minutes de retard de la prof on entre enfin tous dans la classe dans la seule motivation de : dormir.

En plus on a deux heures de français, c'est ennuyant à en mourir.

J'ai vraiment pas du tout envie.

L'épreuve orale est dans une semaine à peine et j'ai franchement pas envie révisée.

Les écrits sont dans deux jours, jeudi.

J'ai trop la flemme.

Je m'assois au deuxième rang à côté de Fleva puis Ilios et Pagoma s'assoit devant nous.

Je plonge ma tête dans mes bras en ayant l'objectif de dormir, mais ce fut un échec puisque ça toque à la porte et ma curiosité me fait lever la tête.

Deux élèves d'une autre classe entrent dans la classe avec des feuilles dans la main.

- Bonjour à tous, c'est pour la distribution des lettres d'amour.

Un brouhaha commence ce formé dans la classe.

Je n'en ai pas fait à Ilios. J'aurais dû ?

Je trouvais ça un peu cucul, mais quand même très mignon quand on aime une personne.

Même si je voulais le faire, je n'aurais pas pu parce que j'arrive pas à exprimer mes sentiments par écrit, je préfère les montrer physiquement.

Ilios me comprend sur ce point et je trouve ça bien.

La meuf commence à dire les prénoms de la classe qui ont reçu des lettres.

Fleva et sa meuf, puis Pagoma ce n'est pas une surprise. Ils sont tous en couple.

D'autre élève sont cité puis viens celui d'Ilios, je fronce les sourcils en me demandant qui peut bien écrire une lettre à mon monsieur.

Si c'est du sérieux, ça va m'énerver.

Il me jette un regard et comprend à mon regard que ce n'est pas moi.

- Et enfin ! Fengari Enías.

Un petit sourire naît sur mon visage, je prends la lettre que me tend la madame.

- Bah alors, vous avaient des admiratrices secrètes ! Dit Pagoma en se tournant vers nous deux.

- Je la lirai plus tard perso, je m'en fous un peu lance Ilios.

- Je vous laisse quelques minutes pour lire vos lettres puis après, on reprend le cours dit la professeur après le départ des deux élèves.

Les garçons discutent entre eux en discutant de leurs lettres.

J'ouvre la mienne délicatement en posant mon dos contre le mur pour pas que les personnes de derrière lise ma lettre.

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