Au fond de ma tête -Feat.Plk/Nekfeu [Terminer]

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|Au fond de ma tête|

Chloé, années 3 Avril 2018

Aujourd'hui, c'était l'anniversaire de Ken et comme cadeau, j'avais décidé d'aller le voir dans son univers que j'avais quitté il y'avait quelques mois maintenant.

Donc, assise, les écouteurs dans les oreilles, j'attendais mon avion pour partir en direction de Chicago, Ken était tombé raide dingue de cette ville.

Mathieu n'était pas venu avec moi puisqu'il avait une interview. Alors j'étais partie toute seule pour le rejoindre, lui et Doums, Framal, Mekra et 2zer qui, eux étaient là-bas depuis une petite semaine. Ils avaient inventés un mensonge en disant que je ne pouvais pas être là avec eux et Ken y avait cru. Il était tombé dans le piège comme on l'avait prédit. À cet instant précis il devait être entrain de me haïr mais dans quelques heures il m'aura déjà pardonné.

« Le vol en direction allé simple pour Chicago vous prie d'embarquer »

D'un bomb, je me relevais pour pouvoir chercher mon embarquement. Je le repérais très rapidement et après ma valise posé à son endroit approprié, je rentrais dans l'avion pour plus de 5 heures.

Quelques heures plus tard

Enfin posé sur le sol, j'étais l'une des premières à sortir du moyen de transport volant. Je respirais grandement l'air qui n'était pas le même qu'en France, Framal devait venir me chercher donc je lui envoyais un message pour le prévenir de mon arrivée.

À Fram' ;
Je t'attends à l'entrée de l'aéroport, hâte de te voir !

Framal -Désolé j'suis arrivé grave tard mais Nek voulait pas me lâcher.

-Il m'en veut de pas être venue la semaine dernière ?

Framal -De ouf, il était déprimé pendant 3 jours sans mentir. C'était invivable. Il guettait la porte si jamais t'arrivais et puis il a comprit que t'allais jamais arrivée.

-J'ai hâte de voir sa réaction.

J'attachais ma ceinture et immédiatement Framal démarrait.

Framal -Moi j'dis j'rentre et après tu suis, tu fais semblant de rien pour voir comment il va réagir.

-Vas-y, je suis partante.

Quelques minutes après, nous arrivions devant une maison assez simple, le soleil frais d'avril tapait dessus et le vent léger secourait les arbres autour. Ça faisait un joli tableau.