CHAPITRE 46

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************** BOLINGO *************




Quelques mois plus tard







📍Los Angeles, CALIFORNIA,
États-Unis








... : Entrez !

JAARON : Liyah, wesh, tu m'a fais une surprise là.

- Ouais, je t'ai apporté ton plat.

JAARON : Merci, mon bébé.

Je m'asseois sur ces genoux.

Bon, depuis notre mariage, Ja et moi sommes installés aux States, à L.A, pour quelques temps.

Il a des affaires à faire ici.

J'ai décidé de ne plus travailler à l'hopital.

Vu les circonstances, je préfère travail à mon propre compte.

Donc dès qu'on rentre à Paris, je vais ouvrir mon cabinet.

Dans la famille, tout le monde va bien.

Sheckina et Gloria vont accoucher dans quelques mois.

Loreta est reparti en Espagne pour un moment.

Aaron a débuté sa formation dans la pâtisserie et tout se passe très bien.

Los Angeles est vraiment une jolie ville.

Il fait beau tout le temps.

Les plages, les rues sont magnifiques.

JAARON : Ma belle, tu pourrais me préparer un bain en rentrant.

- Bien sur. Moi, je m'en vais. Je dois aller faire deux trois courses.

JAARON : Je t'aime, mon bébé.

- Je t'aime aussi.



*****************



Je suis rentrée un peu tard.

Il est 18h30.

Jaaron va pas tarder à arriver. Il faut que je lui prépare son bain.

Et que je fasse à manger.

Je n'ai pas voulu de femme de ménage parce que ça va me rendre paresseuse.

Je préfère m'occuper de ma maison toute seule.








× JAARON ×







Quand on vous dit que bolingo¹ goût. Eza blague te².

¹l'amour
²c'est pas des blagues


Depuis qu'on vit ensemble, tout est plus fluide. Naya s'occupe de moi d'une manière formidable.

C'est pas toujours parfait.

Mais on arrive à résoudre nos problèmes.

C'est le plus important.

J'ai fini le travail. Je prend l'ascenseur. Ça me rappelle Vanilla, la fille qui a semé le trouble dans mes fiançailles.

D'ailleurs, Emerys m'avait envoyé un message pour se faire pardonner, le jour du mariage.

J'ai répondu seulement que je le pardonne.

Et depuis, on a coupé les ponts.

J'entre dans la voiture.

Le vent frais de L.A, les beaux paysages. Ah, la vie qu'on a cherché et qu'on a trouvé.

Je démarre la voiture.

Je suis au feu.

Mon regard se fixe sur les enfants qui traversent la route avec leur papa.

Je l'envie.

Je suis pressé de devenir père moi aussi.

Avoir des enfants qui courent de partout.

Du bruit, de l'ambiance à la maison, c'est mon projet de vie.

Je veux au moins 5 enfants. Mais votre go là, laissez. Elle me dit que 5, c'est trop.

Pour elle, 3 ça suffit. Je lui répondit, toko mono alors.

Le feu passe au vert.

Je démarre.

Puis un gros camion fonce vers moi.

Sans meme avoir le temps de m'en rendre compte, mes yeux se ferment.

Trou noir.









Ça continue toujours...







************** BOLINGO *************

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