21 - Je ne veux plus cacher que je t'aime

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-Octavia-

Il courait avec moi sur son dos. Je regardais autour de moi pour essayer de comprendre ce qui se passait. Quand des natifs étaient au loin, en train de tuer je ne sais où. Pas sur nous en tout cas. C'est sur des 100 qu'ils tirent, c'est sur mon peuple. Pourquoi nous partons d'ici? Il faut les sauver. Lincoln s'arrêta derrière un arbre , me posa au sol, et m'empêchait de parler en mettant sa main sur ma bouche. Lina, une des 100, courait devant moi ( sans me voir ), elle se prit une flèche en plein cœur, elle tomba par terre la seconde d'après. J'avais envie de pleurer, même si je ne l'a connaissais pas vraiment, mise à part son nom, c'est quand même mon peuple. C'est ceux qui sont partis chasser en plus donc il y a une grande chance que mon frère soit la, aussi, et une grande chance qu'il soit mort. 2 autres personnes de mon peuple sont morts devant mes yeux. Après la petite " bataille ", Lincoln me ramena chez lui. Il me lâcha une bonne fois pour toute. Je m'empressai de crier :

Octavia : Que faisait ton peuple dehors ?
Lincoln : Il chassait je suppose.

Au contraire de moi, il parlait assez bas, calmement. Je me calmai petit à petit, puis reprit.

Moi : Et les miens aussi ?

Il hacha positivement la tête.

Moi : Il faut que je rentre, je reviendrais.

Je le serrai dans les bras et partit. Je courrai le plus vite possible vers mon camp. Clarke était dans sa tente. J'entrai presque les larmes aux yeux, en pensant que mon frère était dans la forêt.

Moi : Clarke, bon sang, Bellamy est dans la forêt ils se sont fait attaquer par les natifs. Certains sont ... sont morts [ je bégayais ].
Clarke : Quoi? Vite j'envoie du monde.
Moi : Non, il faut qu'on s'en occupe seuls, plus il y aura de monde, plus il y aura de morts.
Clarke : Je peux pas t'emmener alors. J'y vais seul.

* Pensée de Bellamy *

Je chassais avec les autres mais tout a changé d'un coup. Une personne de mon peuple mourra transpercer par une flèche. Nous n'avons pas de flèche. Les natifs.

Moi : Courrez.

Je me mis à courir, en vérifiant derrière moi que tout le monde faisait de même. Certains était partit dans des directions différente de la mienne, d'autres me suivait. Je m'enfonçait dans la forêt, avec les autres qui arrivait quand même à me suivre heureusement. C'est compliquer de semer des personnes mais réussir à ce que les personnes du camp suivent quand même. Au bout d'un moment, je m'arrêta, regardant si il y a personne dans les parages. Quand un natifs arriva en trottinant vers nous, un arc a la main. Puis un deuxième, un troisième, voilà qu'il était 10 au bout de quelques secondes. On était cuits. Quand une bruit, comme pour nous prévenir, ou prévenir les natifs plutôt. Ils partirent alors à contre sens de leur chemin. Sans doute pour retourner chez eux. On attendit, pour voir ce qu'il avait de dangereux. Mais rien. Rien du tout. Je ne comprend pas. Quand j'aperçois une jeune femme, avec un magnifique chevelure blonde. Clarke. Elle était affolé, elle regardait partout sauf dans ma direction. Elle cherchait quelque chose, ou quelqu'un. Nous je suppose. Je criai son prénom, elle se retourna. Quand elle m'aperçu, elle courra a une incroyable vitesse. Puis me sauta dans les bras, presque à m'en faire perdre mon équilibre.

Clarke : Tu m'a fait peur.
Moi : Comment tu sais ça toi? Comment tu sais qu'on a failli mourir.
Clarke : Ta soeur est revenu au camp avec une tête monstrueuse, elle avait vu des personnes de notre peuple mourir. Du coup je suis venu.
Moi : Toute seule ?
Clarke : Je devais venir avec ta soeur. En fin elle voulait venir mais je lui est interdit. C'est trop dangereux.

Je l'embrassai sur le haut de sa tête.

Moi : Tu as bien fait.

Elle souris.

Moi : Rentrons au camp. Nous essayerons de chercher les autres vite fait au cas ou ils ne serait pas rentrer au camp.

On se mis en route. Nous croisons les personnes de notre peuple morts, par une flèche en général. Toutes ces personnes n'était venus que pour chasser. Ils sont venus nous attaquer sans raison. Il faudrait faire une trêve un jour. Même si on a jamais déclarer la guerre. Une fois rentrer, nous découvrons qu'ils ne manque personne. Heureusement. Ils manquent juste ceux qui se sont fait tiers par ces "sans-cœurs". Clarke m'appela de sa tente. Je la rejoignais la bas. Elle me fixait avec " amour "? Avec un regard séduisant dans tous les cas. Elle m'attirait vraiment cette fille. Elle posa ses lèvres sur les miennes et murmura entre deux souffles.

Clarke : Je ne veux plus cacher que je t'aime.

Survive Here - Bellarke [EN CORRECTION]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant