Anime - Vieilles fanfic

BNHA - Izuku Bakugo • 2'014 mots

Résumé: Izuku se retrouve à devoir habiter chez "Kacchan"

Chapitre 1: les Bakugo

PDV extérieur

C'était presque les vacances de noël et chaque élèves devaient retourner chez lui pour les trois semaines de congé, laissant tous les bâtiments de Yuei vides. Chacun de la 1-A préparaient leurs affaires, l'un de leur parents, ou les deux, devant l'école étant arrivés plus tôt dans la journée. Izuku, tant qu'à lui, n'avait pas son habituel sourire au visage, se rappelant le message sur son répondeur qu'il avait reçu un mois au paravant.

« Bonjour Izuku Midoriya, ici l'hôpital XXXXXX. Nous vous appelons afin de vous signaler que Inko Midoriya a eu un accident au centre commercial XXXXXX. Il y avait une attaque d'un groupe de vilains et elle fait partit des victimes qui n'ont pas pus être sauvées. Elle a été amenée d'urgence à notre département, mais nous n'avons malheureusement rien pus faire pour elle. Dans vos registres, il est écrit que c'est la dernière famille qu'il vous restait, puisque votre père est toujours en prison. Nous vous souhaitons nos plus sincère condoléances, en espérant que vous trouverez un établissement où loger en ce futur temps des fêtes. »

Il n'en avait parlé à personne, pas même Ochaco et Tenya, que son professeur principal, ou son mentor. Il savait que le directeur de Yuei avait été mis au courant, mais c'était tout. Même Bakugo, son ami d'enfance, n'en savait rien. Sa mère, en revanche, a été avisé presque juste après Izuku, et celle-ci le prit en charge, lui envoyant un texto trois jours avant.

« Salut Izuku, c'est Mitsuki si mon numéro n'est pas enregistré. Je... j'ai été prévenu pour ta mère, et j'en suis sincèrement désolé. Puisque Hisashi n'est pas là, je vais te prendre chez moi pour les vacances. Tu auras une chambre à part pour t'installer, et tu pourras rester si tu veux. Je suis sûre que je peux trouver le moyen de t'adopter officiellement. J'ai hâte de te revoir, ça fait si longtemps. xx »

Et c'est comme ça que Midoriya allait partir avec les Bakugo pour les trois prochaines semaines, sans même que Katsuki en aille été avisé avant. Peu à peu, les élèves partirent avec leur parents, et Mitsuki et Masaru arrivèrent pour chercher les deux adolescents. Voyant qu'il le suivait vers la voiture, Bakugo se mit à gueuler.
- Pourquoi tu me suis toi?! Tes seuls amis t'ont planté là alors tu sais pas quoi faire à part me suivre?!! Retourne à l'intérieur attendre ta mère, me suis pas comme ça avec ton air de chien battu!! Sale nerd..
Il lâcha un « tch » avant de continuer d'avancer, mais sa mère l'avait entendu.
- FILS INGRAT! Soit donc plus respectueux envers Izu, c'est trop demandé, huh??!
- Mitsuki, calme-to-
- Non Masaru!! Katsuki, sais-tu au moins pourquoi il te suit???
- Non, et j'en ai rien à battre de lui, on peux partir?
- On le prend avec nous pauvre idiot!
La mère frappa son fils sur la tête
- Mais non! Monsieur Katsuki se croit tout permis, huh?? Il me semblait que vous étiez amis d'enfance!!!
- Mitsuki, c'est pas grave... je suis habitué à ses sautes d'humeur, on est dans la même classe... est-ce qu'on peux juste y aller..? Je... je veux juste me reposer
- Pardonne moi Izu, oui on y va. Et toi Katsuki Bakugo, soit plus poli envers lui ou je te jure que tu le regretteras
- Tch, c'est ça la vieille
Après avoir mit les sacs des deux plus jeunes, la famille Bakugo et Midoriya entrèrent finalement dans la voiture, en direction de la maison. Sur le trajet, personne ne parla. Masaru ne voulait pas empirer la situation, Mitsuki ne voulait pas s'écorcher la voix, Katsuki écoutait sa musique, et Izuku ne faisait que regarder par la fenêtre. Après une quinzaine de minutes, les quatre arrivèrent à la maison, et le vert fut le premier à sortir toutes ses choses et aller dans la maison. Une fois à l'intérieur, Mitsuki lui indiqua sa chambre, alors que Katsuki était toujours confu.
- Alors???!
- Alors quoi?!
- Pourquoi Deku est là???! Sa mère pouvait pas le prendre ou quoi?! Et là, JE dois me taper ce fichu nerd dans MA maison?? Je pourrais au moins savoir pourquoi ce connard doit être là?!?!
- Déjà, tu surveilles ton language jeune homme!! Et il te l'as pas dit? Ink-
- Mitsuki
La femme se retourna vers Izuku, dans le cadre de porte de la cuisine
- Je l'ai dit à personne, je... je voulais pas faire pitié... et c'est pas comme si Kacchan s'en faisait vraiment pour moi de toute façon
Midoriya fit un sourire triste avant de s'approcher de son ami d'enfance et le regarder dans les yeux
- Ma mère est morte il y a un mois, jour pour jour même, Kacchan. Pendant l'attaque au centre commercial XXXXXX. Les héros n'ont pas pus la sauver
Les yeux de Izuku brillaient. Pas qu'il était heureux, mais parce qu'ils se remplissaient de larmes. Il se frotta les yeux avant de faire demi-tour
- Désolé, ça doit être une poussière... j-je vais retourner d-dans ma ch-chambre, dit Midoriya avec un sanglot dans la voix 
Il commença à marcher avant de se mettre à accélérer en direction de la pièce. Katsuki, lui, était resté sur place sans bouger
- Je... je savais pas...
- Connaissant Izu, il t'as déjà pardonné. Reste que tu devrais faire attention à ce que tu dis, parce que tu ne le connais peut être pas aussi bien que tu le crois...
- Huh?
- Va le voir et parle lui. Sans gueuler ou l'insulter. Je pense à peut être l'adopter, alors essaie au moins d'avoir une bonne relation avec lui
Bakugo décida d'aller vers Midoriya, un peu à contre cœur, et il toqua à sa porte, entendant que le vert pleurait.
- Oi, Deku
- *snif* q-quoi?
- Je.... tch, s'cuze pour tantôt... j'ai pas réfléchis et c'est ça...
La porte s'ouvrît et Izuku avait les yeux légèrement rouges, mais il souriait tout de même
- Ça va, je l'ai dit à personne en même temps alors..... je... j'ai pas très faim alors je vous joindrai pas pour le souper
- T'es sûr que ça va? T'as l'air encore tr-
- Bakugo, ça va. Va manger, ta mère va te crier dessus sinon
Puis, Izuku ferma la porte sans rien ajouter de plus. Le blond, lui, se dirigea vers la cuisine et prévint sa mère, mais ne parla pas du reste du souper, ses pensées fixées sur une seule chose. « Il m'a appelé Bakugo. »