Anime - Vieilles fanfic

BNHA - Crazy • 3'528 mots

Guys j'suis rendu à 2020 💀 uhhhh Deku est un villain & est fou? Idk man, I'm lost it's been 3 years-

Chapitre 1: attaque

PDV inconnu

On pouvait le voir partout. Ce garçon aux cheveux ébouriffés vert, tout le monde le voyait à cause des caméras. Il était entré dans le bâtiment ayant l'une des meilleures sécurités, mais non. Rien ne le retenait. Il marchait lentement, posant un pied juste devant l'autre, les bras étendus sur les côtés comme s'il se tenait en équilibre, tout en fredonnant une comptine pour enfant.
« London Bridge is falling down~ Falling down, falling down. London Bridge is falling down~ My fair lady~ »
À chaque couplet, il regardait une caméra, souriait et la détruisait. Encore et encore. Mais.. mais qu'est-ce qu'il veut?! Je tenta de courir le plus loin possible, mais impossible. À chaque fois que je sortais du bâtiment, peu importe le chemin, je revenais dans la salle des caméras. Comme si on m'y téléportait. Tout comme moi, les autres employées ne pouvaient partir. Nous étions tous prisonniers de notre propre bureau. On tenta encore une fois de sortir, en vain. Le garçon aux tâches de rousseurs s'approchait de plus en plus d'ici, la salle des caméras. On pouvait désormais l'entendre chanter de l'autre côté de la porte. D'un seul coup, il l'a fit imploser. Enfin, on aurait dit autre chose. Comme si la porte avait rétrécit tellement qu'on ne l'a voyait plus. Il l'avait fait également très vite, donc personne ne comprenait, moi compris. Personne... personne ne voulait mourir ici et maintenant. Qu'avions-nous fait? Tout le monde tenta de supplier le jeune homme, mais je restais à part. En s'approchant de chaque personne, il continuait sa démarche unique, et lâchait un rire à chaque fois qu'il poignardait quelqu'un.
- S'il vous plaît, j'ai une femme et deux enfants!
- Non.
Il le tua.
- Je peux faire tous ce que vous me demanderez!
- Non.
Il le tua.
- Je peux vous obtenir tout ce que vous désirez!
- Non.
Il le tua.
Ce manège avait continuer pendant une vingtaine de minutes. Tout le monde tenta de trouver la pitié du garçon au cheveux vert. Je venais de m'en souvenir. Ces cheveux vert, ces taches de rousseurs, cette attitude. C'était le nouveau meurtrier en série dont on parlait à la télévision. On dit qu'il n'infiltre que des grandes compagnies pour y tuer tout le monde, ne laissait qu'une caméra activé pour montrer sa présence, et son nom écrit avec le sang de ses victimes. Miku. On racontais également que ce garçon, même après avoir tuer ses cibles, s'amusait avec leur corps. Il les décapitait et ré-assemblait les corps de différentes manières. Les bras d'un homme au côté d'une femme, avec une tête de personne plus vieille, et des jambes jeune. Plusieurs mélanges étaient créé sur chaque scène de crime. Parfois, les corps étaient tellement remplis de coups de couteau que ça prenait jusqu'à deux semaines les identifier. Tout le monde était mis en sang et a mort autour de moi. Le garçon tourna la tête vers moi et me sourit. Il recommença à chanter.
« London Bridge is falling down~ Falling down, falling down. London Bridge is falling down~ My fair lady~ »
Il arriva près de moi. Quelques centimètres nous séparaient. Il me posa une question.
- Et toi? Pourquoi n'essais-tu pas d'avoir ma pitié? Pourquoi ne me supplies-tu pas?
- Je... je sais que... que peut importe ce que je dirais... vous.. v-vous me tuerez.
Il arrêta de bouger et me fixa de son regard sans vie. Il se baissa à ma hauteur, ferma les yeux et me sourit. Cette fois ci, on aurait dit un sourire innocent. Par contre, ce qui s'en suivit ne l'était pas.
- C'est vrai.
Je senti une lame me transpercer à plusieurs reprises. Cage torassique, jambes, bras, épaules. Puis ce fut au tour de ma gorge à être tranché, avant que ma tête ne tombe, sûrement, lourdement au sol. On dit que nos sens restent en éveil sept secondes après notre mort. Sentir l'odeur du sang. Goûter le sang dans ma bouche. Voir mon monde basculer dans l'obscurité. Entendre le bruit de celle-ci frapper le sol. La sentir se décoller, se déchirer, de son corps d'origine. Ce fut les sept secondes les plus longues de ma vie.