Anime - Vieilles fanfic

BNHA : quand le passé nous rattrappe • 14'576 mots

Synopsis:
Au lieu des alter, c'est des créatures mythiques. Au lieu d'être mis de côté pour n'en avoir aucun, Izuku s'éloigne à cause de sa puissance. Il n'est peut être pas le premier vampire, mais il connaît celui-ci: il est le second. Et être aussi vieux peut apporter des conséquences

Chapitre 1: arrivé

Alors que je prenais une poche dans le frigo, et la versa dans ma gourde opaque, je fila en courant au plus vite de mes capacités vers ma nouvelle école: Yuei. Cette école était connu mondialement pour tous ses programmes, dont celui pour êtres surnaturels, comme moi, qui veulent devenir des héros. Dans ce monde, près de 20% de la population est une autre chose qu'un humain. Hybride mi-homme mi-animal, loup-garou, personne béni d'un dieux, immortel, fée, sorcier, métamorphe ou encore, le moins répandu et celui répandant le plus la peur: les vampires. Je faisais partit de cette catégorie, étant âgé d'environ 950 ans. Yuei était une école secondaire enseignant des cours divers pour déjà nous préparer à plus tard selon nos choix de vie. Pourtant, le cursus des êtres surnaturels, dont une partie héroïque, était différent. Alors que les autres avait des cours de 9h30 à 16h40, nous nous en avions de 16h20 à 22h30, la raison principale étant que quelques étudiants, je m'inclu dans le lot, devaient suivre leur cours la nuit, ou du moins, avec le moins de soleil possible. À part les cours réguliers, nous en avions qui nous aidaient à développer notre potentiel magique, et des cours héroïques. Je suis idiot, je ne me suis pas présenté! Izuku Midoriya, comme je l'ai dit j'ai environ 950 ans - j'ai perdu le compte au fil des années - et je vais rentrer à Yuei. Pourquoi aussi tard? Parce que les écoles n'ont commencés à accepté les vampires que l'année dernière, et il se trouve que j'étais pas en état de suivre des cours. J'ai fait quelques recherches, et nous ne sommes que quatre à être des vampires dans cette école. Il y aura moi, un autre secondaire trois qui arrive également aujourd'hui, un en quatrième et un en cinquième secondaire qui sont arrivé l'année dernière (deux de 15/16 ans, un de 16/17 ans, un de 17/18 ans). Aussi, il nous est interdit d'utiliser nos dons surnaturels ailleurs que dans des endroits réservé à cet effet, c'est encore plus compliqué pour les vampires, ou si on est des héros avec notre licence. Nous, vampires, sommes considérés comme « les plus dangereux » et les règlements sont encore plus stricte avec les êtres surnaturels. Ceux qui ne les respectes pas sont considérés comme des hors-la-loi, ou communément appeler des vilains, qu'ils soient vampire ou non. Une fois arrivé devant le grand bâtiment, caché du Soleil par mes longs vêtement, j'entra dans l'établissement où j'allais étudier pour les trois prochaines années. Je me dirigea vers le bureau du directeur qui est un métamorphe. Il peut devenir une sorte de souris, je l'ai vue lors de ma visite. Il est plutôt mignon ainsi, et il préfère rester comme ça plutôt que dans son apparence humaine.
- Bonjour Midoriya, ravi de te revoir! me dit-il
Je lui souris à pleine dents, mon expression étant assez fausse et forcé, et lui répondit.
- Moi aussi! J'avais hâte de venir ici! Pourquoi vouliez-vous me voir?
- En fait, juste te prévenir que comme l'ajout des vampires est encore récents, certains élèves peuvent ne pas l'accepter, bien qu'il n'en ai pas beaucoup.
- Je comprend, lui dis-je
- De plus, je voulais te donner des informations sur ton horaire, l'internat, et ta classe. *tend une feuille* et voilà! Tu peux aller t'installer, les cours commenceront à l'heure indiquée.
J'acquiesça et sortis du bureau. Je regarda les feuilles que j'avais dans les mains, puis les rangea avant de reprendre mon chemin. Alors que je marchais vers l'internat, plus besoin de me presser, j'ouvris mon sac et sortie ma gourde afin d'en boire le contenue. Je préférais boire un tout de suite, c'est gênant voir les autres détailler mon apparence qui change quand je bois. Ah oui, j'oubliais - encore. J'ai les cheveux et les yeux verts, ma peau est assez pâle, je mesure 1m66, je suis né le 15 juillet et, comme on peut s'en douter, j'adore le vert et les couleurs sombres. Par contre, comme je l'ai dit, mon apparence change un peu lorsque je boit du sang, ou que j'utilise à plein potentiel mes pouvoirs de vampire. Mes cheveux se colore en dégradé de noir jusqu'à blanc de la racine aux pointes, mes yeux virent sur un rouge sang et de petites veines apparaissent en-dessous. Même si je les ai de base, mes canines s'allongent également. À chaque fois qu'une personne voyait ça, elle m'observait dans mes moindres faits et gestes, et je ne parlais plus, cause de peur. Une fois rassasié, j'entra dans le bâtiment et abaissa la capuche de mon coton ouaté couvrant ma tête, puis j'observa chaque parcelle du lieu. C'était plutôt spacieux, et il n'y avait pas tant de fenêtres que ça. Par contre, j'aime bien le vert, et c'est bien la seule couleur - pas ton - que j'apprécie. Hors, les murs était d'une couleur qui, je trouvais, sautait un peu trop aux yeux. Je marcha vers l'étage, ma chambre se trouvant apparemment au premier. J'ouvris la porte et me retourna aussitôt. Bien sûr, il y a des rideaux et un vampire va dormir dans cette chambre, mais pas question de les fermer! *ironie* Je marcha à reculons en direction de la fenêtre et ferma les morceaux de tissu, la lumière me brûlant ne rentrait plus. Je ferma la porte et retira mon coton ouaté. Même si je suis techniquement mort et que mon corps ne vit plus, je peux pareil savoir que porter un coton ouaté alors qu'il fait 28°C dehors c'est pas la joie. Après avoir de nouveau bu quelque chose, je commença à m'installer. J'avais demandé la permission de repeindre les murs de ma chambre et, comme on reste dans les mêmes toute notre scolarité, ça m'a été accordé. Je peintura chaque murs de couleur noir, installa les meubles qui étaient arrivés avant moi, fit mon lit, et je fini par ranger mes livres et autres trucs personnels. Je retomba sur un cahier. Le cahier. Mon cahier. Comme tout bon vampire, je ne comprenais pas ma situation au début, personne ne me l'expliquait et peu de personne nous connaissait à l'époque. Toutes les dernières années, si je me sentais mal ou autre, je pouvais sombrer dans une folie pendant plus d'une décennie. Pendant ce temps, on me nommait comme un meurtrier en série, jusqu'à ce que les vampires soient découverts, et on changea mon surnom. Il passa de l'Éventreur à Le Tueur Nocturne. Pour je ne sais quelle raison, chaque fois que je tuais une personne je lui ouvrait le ventre et répandait ses organes partout sur la future scène de crime. J'étais l'un des vampires les plus connus et les plus redoutés. Pour les humains j'étais un monstre, et pour les vampires, un justicier réclamant l'égalité. Le problème, c'est que même moi j'ai peur de cette facette de ma vie. Je ne l'ai jamais accepté, comme si elle ne m'appartenait pas. Le cahier que je venais de retrouver, je ne l'avais pas touché depuis mes derniers massacres. Il me servait qu'à une chose: noter le nom de mes victimes. Bien que je les tue par moi-même pendant ces années de folie, je regrettais mes actions ensuite. J'ai donc commencé à faire ça: avant d'achever mes innocentes victimes, je leur demandais leur nom. Je me disais que ça les ferais vivre à travers les pages blanches de ce cahier. C'est stupide, mais je continue toujours de le faire. Après avoir tout placé, j'observa le résultat de ma chambre. Plutôt sombre, comme prévu, mon couvre-matelas vert foncé et des motifs que j'ai fait à la main à côté de mon bureau. Être un vampire n'enlève pas le fait que j'aime dessiner! Je me coucha sur mon lit, épuisé. Mon cadran indiquait 11h17. Je me coucha pour ne me réveiller que quand mon alarme de téléphone sonna, soit à 15h55. Je sortis de mon lit, me changea, remis mon coton ouaté et partit de l'internat. Avant de sortir, je vis d'autres personnes se presser pour aller en cours. Je n'y prêta pas plus attention et sortis du bâtiment. Bien que la journée tirait à sa fin, le Soleil tapait toujours aussi fort. Je m'arrêta à la cafétéria et m'acheta une nouvelle poche de sang. Les vampires n'étaient autorisés qu'à boire du sang d'animal, légalement, et pas humain. Bien que l'on s'y résignait, certains passaient outre cette règle, et s'en donnait à cœur joie. Et même pour ceux la respectant, il pouvait devenir difficile de résister à l'odeur si elle emplissait nos narines. Comme à mon habitude, je transféra le sang à ma gourde et jeta la poche. Il était 16h04 quand j'arriva devant la porte de la 1-A.