XXXI

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Précédemment :

Drago: tu ne peux pas savoir à quel point je veux que tu souffre pour tout le mal que tu as osé faire à ma famille et mes amis en ayant l'audace de t'en prendre à autant de familles de sang pur inclinées sombres. Je n'ai pas honte de l'admettre, je pratique les rituels en l'honneur de la magie et des dieux. Je ne m'amuse pas à kidnapper des nouveaux-nés et à leur sceller leur magie pour combler mon complexe d'infériorité. Ce n'est pas moi non plus qui manipule un messager de la mort avec un quelconque potion pour ensuite le baiser.

La suite:

Le vieux articula difficilement sous la douleur de l'impardonnable.

Dumbledore : quel... messager de la... mort ?

Aaron: celui que j'ai envoyé pour veiller sur ma pupille, Croyance. Pauvre gosse.

Dumbledore : Cr-Croyance ? L'obsurial ?

Une moue de dégoût se forme sur les lèvres du gardien du Sanctuaire en entendant le ton utilisé pour appeler son protégé. Un mélange entre de la désapprobation et un soupçon de peur cachée par la douleur sous l'impardonnable subit.

Aaron: vous avez fait avec moi là même chose qu'avec Croyance. Vous nous avez considérés comme des armes. Votre heure de gloire est terminée.

À la fin de sa phrase, deux cracs sonores se font entendre et tous virent arriver un duo roux.

Aaron: c'est une manie que vous avez à vouloir absolument se faire désirer chez vous ou quoi ? Vous êtes en retard. Et arrêtez vos arrivées en grande pompe, c'est ridicule.

???: c'est Hedwige qui a mis du temps à arriver avec ta lettre.

Aaron: ne rejette pas la faute sur ma chouette, William.

William: je ne rejette pas la faute sur ta bien-aimée compagne à plume, j'énonce simplement un fait.

???: ou bah n'énonce pas trop de faits devant lui sinon il va nous faire un de ses légendaires coups fourrés dignes de Serpentard.

Salazar: je n'apprécie pas vraiment être associé à cette énergumène.

Aaron: MOI ? MOI JE SUIS UNE ÉNERGUMÈNE ? TU T'ES VU AVANT DE PARLER ?! REGARDE BIEN TA TÊTE AVANT DE VOULOIR CRITIQUER LA MIENNE !

Salazar prend alors un air pompeux et dramatique.

Salazar: Tu me dois le respect, je suis ton aîné et ton aïeul.

Aaron: je vais être très clair face d'écaille. Petit 1: je ne sais pas ce que veut dire le respect quand ça te concerne. Petit 2: faux, je suis 7 milliards de fois plus vieux que toi. Petit 3: tu es certe mon aïeul mais ça ne veux pas dire que je dois t'obéir.

Salazar: justement si.

Aaron: non mais c'est le détraqueur qui se prend pour la licorne là. Tu ose insinuer que tu est d'une autorité plus importante que la mienne ? Je ne veux pas paraître vantard mais j'aimerais que tu me rappelle qui a plus de pouvoir que l'autre.

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A suivre

Le Dragon Aux Écailles d'Argent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant