Le Dragon Aux Écailles d'Argent

XXXII

Précédemment :

Aaron: Je ne veux pas paraître vantard mais j'aimerais que tu me rappelle qui a plus de pouvoir que l'autre.

La suite:

Serpentard resta silencieux quelques secondes.

Aaron: alors ?

Le fourchelangue grogna et marmonna des phrases incompréhensibles dans sa barbe inexistante avant de se redresse et de fusiller du regard le jeune homme brun aux yeux émeraude qui avait réussi l'exploit de lui faire fermer son clapet.

Salazar: ça... M'écorche la gorge de le dire mais... C'est vrai... §Tu es plus puissant que moi.§ Il y a une trace indélébile de ton existence dans chaque civilisations connue et inconnues. Enfin, c'est pas étonnant vu que tu es le maître de la mort. Thanatos est sous tes ordres. Les dragons t'obéissent. Les créatures magiques sont à ton service. Les peuples magiques quels qu'ils soient t'écoutent et ton pouvoir est presque vénéré même chez les moldus.

Les regards estomaqués des sorciers tout autour d'eux firent soupirer Aaron.

Aaron: t'étais pas obligé de lâcher la bombe comme ça, tu sais ?

Salazar: je sais.

Godric, qui se trouvait à environ cinq mètres se colla au dos de Merlin et entoura de ses bras la taille du plus petit en approchant sa bouche de l'oreille de l'autre. Il se mis à parler bas tout en regardant la dispute.

Godric: les gens ici disent que les légendaires disputes de Poudlard étaient entre moi et Salazar. Je crois que maintenant ils ont compris que c'était pas moi.

Merlin: mouais. C'est toujours aussi impressionnant qu'avant mais là faudrait peut-être appeler les filles qu'elles calment ces deux têtes brûlées. Tu trouves pas qu'ils approchent un peu trop des limites?

Godric: laissons les se défouler sur l'autre encore quelques minutes et après on appelle la cavalerie Terre-Ciel.

Drago s'approche du duo en les faisant sursauter.

Drago: mon homme est complètement taré ou quoi ?

Il avait le teint très pâle, les yeux ternes et sa voix était blanche, dénuée d'émotion.

Merlin: tu t'inquiètes trop, gamin. Pas besoin de paniquer comme tu le fait.

Merlin avait beau paraître rassurant, dans ses yeux était visible de l'inquiétude quant à l'état dans lequel se trouvait le jeune blondinet. Il échangea un regard avec son compagnon puis attrape son cadet et le serre dans une étreinte puissante. Il regarda à nouveau la dispute et soupira.

Merlin: tu sais quand ils vont arrêter de s'arracher les cheveux pour un oui ou pour un non?

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A suivre