PULCHERRIMAA_ PRODUCTION ©️.
—
Nous sommes le 29 octobre et aujourd'hui c'est l'anniversaire de ma fille Mahira.
Depuis qu'elle était rentrée, soit hier soir, elle était agitée et ne faisait que de sauter, courir et crier partout tellement elle attendait ce jour.
J'avais l'impression de me revoir moi à son âge.
À chaque fois que je l'emmène chez ma mère ou bien chez mon père, les deux ne cessent de me dire que cette petite c'est mon portrait craché.
Les mêmes mimiques, la même façon de parler et de se tenir, c'est littéralement ma jumelle. Autant physiquement que mentalement.
Il était 8 heures et demi.
J'étais à la cuisine avec mon fils qui s'était réveillé il y a un peu plus d'une heure.
Il avait fini de boire son biberon donc je l'avais attaché au dos avec un pagne pour qu'il puisse faire son rot et qu'il puisse se rendormir tranquillement.
J'avais décidé de lui faire un petit déjeuner de princesse avec des choses qu'elle aime principalement. Comme ça on allait tous manger ensemble.
Des œufs, du pain perdu, du chocolat chaud et du jus d'ananas. Repas copieux mais simple et comme elle aime.
Entre-temps, Inayah s'était réveillée et était venue m'aider sur la fin. Pendant que son frère lui, s'était endormi.
— On monte réveiller ta sœur ?
Elle hoche la tête et nous sommes montées la réveiller juste après avoir mis mon fils dans la sienne pour qu'il puisse dormir tranquillement.
En ouvrant la porte, elle dormait encore paisiblement. On s'est mise à lui chanter la fameuse chanson "joyeux anniversaire" tout doucement pour ne pas trop la brusquer.
Elle s'est réveillée en douceur puis elle a couru vers nous en sautant dans nos bras.
Mahira — Eh eh aujourd'hui j'ai quatre aaaaans !
— Que Dieu te bénisse et te protège abondamment mon bébé, mon enfant bénie.
Mahira — Amen maman ! Je suis trop contente d'avoir quatre ans merci Jésus.
J'étais émue de ces petites paroles.
— Descends en bas, y'a une première surprise qui t'attends.
VOUS LISEZ
« Est-ce nécessaire d'aimer ? » [II].
Fiction généraleEn cours d'écriture. On ne peut pas empêcher un cœur d'aimer.