Chapitre 8 : Moyen de pression

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On venait tout juste d'arriver chez mon père que mon cousin sorti à l'affût de la voiture, m'invitant à le suivre.

Il marchait à grandes enjambées et je dû littéralement courir après lui en vue de mes petites jambes. Son air affolé était d'autant plus inquiétant, lui qui avait l'habitude d'être d'un sang-froid énorme. Ce Bryan là n'avait rien avoir avec mon cousin.

La peur qui c'était formée dans mon ventre ne fit que s'intensifier au file des secondes et plus vite on m'expliquerais la raison de cette soudaine venue,  plus vite je me calmerais.

Si ce n'est rien de grave bien sûr.

Une fois devant la porte on ne perds pas de temps pour rentrer et se diriger vers le salon. Une fois arrivé j'aperçut mon père accompagné de Chloé, tante Jane, oncle Bruce et des gens dont je ne connaissais pas l'identité.

C'est qui ça ?

Mon père nous vis et nous fît signe de s'approcher. Une fois à proximité il me sourit faiblement l'air préoccupé.

- En cette réunion non prévu j'aimerais annoncer quelque chose. Commença-t-il. Comme vous le savez nos affaires ne son pas au plus grandes de leurs formes en ses temps-ci. Et les Belins ont bien l'intention d'en profiter.

Ces gens aussi travaillent pour la mafia ? Oh merde !

- Hier. Continua mon père. Nos caméras de surveillance on filmé des inconnus en plein repérage au tour de l' Esmeralda. Heureusement rien n'a été volé car nos agents de sécurité ont débarqué. Ces personnes sont maintenant enfermées dans la chambre froide.

Chambre froide ?! Ils vont carrément crevé à ce stade. Mais en quoi ça me concerne ?

- J'en viens à la raison pour laquelle ma fille Elena est parmi nous. Poursuit-il.

Ah.

- Nous avons donc visionné les caméras et nous avons découvert la principale raison de leurs venues.

- Ils sont venus ici pour quelques choses ou plutôt pour quelqu'un. Informa mon oncle. Et cette personne c'est toi Elena. Dit-il en se tournant vers moi.

Pour moi ?

- En restant ici tu cours un grave danger. Ils te veulent afin d'arriver à leur fin. Enfin je dirais plutôt il te veut.

Mon cœur rata un battement. Quelqu'un veut m'enlever afin d'obtenir ce qu'il veut ? Non impossible. Pourquoi moi. Je ne vois pas ce que j'ai fait de mal.

Ma vie est maudite.

- Je suis désolé d'avoir à te dit ça ma puce. Reprît mon père. Mais tu as deux choix. Première possibilité, tu reste à San Francisco, tu poursuis tes études mais tu intègres les affaires et tu sera surveillée 24h/24.

Surveillée ? Comme une gosse de trois ans ?

- Ou. Conclût-il. Tu repars en Italie et tu poursuis tes études là bas.

Faire quoi ?

Mon monde s'écroula. Rentrer en Italie était vraiment la dernière choses qui me traversait l'esprit. Mais rester ici et risquer ma vie est la chose la plus folle qu'une personne pourrait faire.

Je regardais mon père et en vu de sa tête je compris qu'il m'imposait ça à contre coeur. Pour ma sécurité. Mais qu'est-ce que je suis censée faire ?

Revoir Pablo et ma mère.

- Fais le choix de rester là où tu te sens le plus en sécurité.

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