Anna me fixe, me voyant main dans la main avec une fille. Elle me juge ouvertement. Je fais les présentations :
« - Anna, Léa, Léa, Anna. »
Je me suis permis de préciser qu'Anna est ma colocataire et qu'elle partira dans moins de deux mois. Anna me fixe de plus en plus. Serait-elle jalouse ? Je me rapproche de Léa, et je l'embrasse dans le cou et mets ma main au niveau de sa hanche pour la rapprocher de moi. Je la prends ensuite par le bras et l'emmène dans ma chambre.
Une fois dans la chambre, la porte fermée. La fille saute sur moi pour m'embrasser, ce qui me fait tomber dans le lit.
J'ai envie de sexe, j'en ai réellement besoin.
J'intensifie le baiser en introduisant sa lèvre entre mes dents. Je place mes mains en dessous de son débardeur.
Je le lui enlève rapidement. Léa, au-dessus de moi, elle a envie de moi. Moi, j'ai envie de sexe. Elle se relève, elle est donc assise sur mes cuisses. Je l'accompagne, nous finissons toutes les deux assises, mais elle, sur moi. Elle déboutonne mon chemisier d'une vitesse folle. Elle reprit le baiser, pendant que je détache sa ceinture. Elle se relève pour enlever son pantalon, puis revient dans le lit pour enlever le mien. Une fois mon pantalon jeté dans la pièce, elle se jette sur moi. Elle s'allonge au-dessus de moi. Elle embrasse mon cou.
Mais bordel qu'est-ce qu'elle fout ? Faire sa romantique alors que je veux que du sexe, baise moi bordel.
Une fois qu'elle atteint ma poitrine, elle glisse sa main le long de mon corps, puis arrive à mon sous-vêtement, elle le retire, puis arrive au niveau de mon clitoris.
C'est quoi ce mouvement de merde. Anna le ferait mieux j'en suis quasiment sûre, en tout cas, dans mon rêve, c'était le cas.
Elle ne m'excite pas du tout. Je dois la tuer, elle sert à rien.
Je la retourne pour prendre le dessus, je suis maintenant au-dessus d'elle. Je dirige ma main au niveau de son clitoris, après avoir enlevé son sous-vêtement. À peine, je la touche, elle commence à gémir. Mais elle a jamais baisé ou quoi ? Elle intensifie ses gémissements. Je déteste les gens qui font du bruit, alors je me dépêche de la terminer, ce qui ne me prit pas très longtemps.
Une fois rhabiller, on discute. Je prétends être intéressée par cette sous-merde.
Je la prends par le bras et l'emmène dans la chambre carrelée. Ayant qu'une armoire, qui est remplie d'accessoires, avec une chaise au milieu de la pièce.
Je lui dis de s'asseoir sur la chaise. J'ouvre la porte du placard et prends un bandeau. Je la regarde :
« - Tu me fais confiance ?
- Oui. »
Bah, elle ne devrait pas. Je m'approche d'elle et lui bande les yeux. Je vais ensuite chercher ma fameuse arme, mon poignard. Je ne vais pas la poignarder toute suite sinon ce ne serait pas drôle, je glisse l'arme en bas de mon dos, bloqué par ma ceinture. Je me penche et l'embrasse dans le cou. Je soulève son débardeur et caresse son corps lentement, sa respiration s'accélère de plus en plus. Je lui retire son débardeur, et je lui chuchote à l'oreille :
« - Tu en veux plus ? »
Elle acquiesce, cette idiote.
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La vie est un jeu
RomanceLa vie est un jeu, un jeu qui se gagne à l'aide de points, les points s'accumulent en faisant de bonnes actions. Les bonnes actions s'accumulent afin d'avoir un monde meilleur. Mais lorsque des personnes ne gagnent pas les points, leur vie est en da...