Partie III. Rien d'exceptionnel

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Cette femme me répugne, mais je jouis, sa tête entre mes cuisses. Elle me regarde satisfaite, je rétorque :

« - Ce n'est pas toi qui m'as fait jouir, apprend à être compétente, car actuellement tu flattes ton égo alors que ça n'avait rien d'exceptionnel.

Touchée.

- Qu'est-ce qui t'as fait jouir ?

- Mon imagination, mais j'avoue que ça devait être dure pour toi sachant que j'ai eu un orgasme il y a moins d'une heure. »

Je n'arrive pas à jouer la comédie avec elle, sa personne me dégoûte autant que je l'ai désiré.

Victor devrait me dégoûter, mais je ne l'ai pas aimé comme je l'ai aimé, comme j'ai aimé Anna, c'est comme si cette manipulation ne me faisait rien, comme une victime en plus dans le calendrier.

Anna à l'air déçue, déçue d'elle-même, comme si elle avait fait quelque chose de mal, même si c'est le cas. Je reprends avec une voix bien provocante :

« - Désormais, tu ne me toucheras plus, pour l'instant, et je veux que la prochaine fois que tu me touches, ce soit l'extase complète, l'orgasme assuré.

- Tu feras comment en attendant ?

- Tu crois vraiment que mon orgasme d'il y a une heure viens de moi même, qu'est ce que tu es naïve, j'étais pas à la maison. »

Sa tête se décompose, mais j'ai bien le droit de me faire plaisir.

Cinquantième jour

Me voilà devant une belle victime attachée sur une belle chaise dans une belle chambre entièrement carrelée. Je m'approche avec un fouet, je l'utilise rarement, mais il est bien efficace. Juste à la vue du fouet, la femme se décompose et devient blanche, son regard rempli de peur. Je lui donne plusieurs coups de fouet ce qui l'a fait crier à chaque fois.

Mon spectacle est interrompu lorsque la porte s'ouvre. Anna est à présent à deux centimètres de mes lèvres, sa main sur mon cou, sa pression de main et quasiment inexistante, elle ne veut pas me faire de mal, elle veut juste me tenir, elle commence :

« - Je t'ai dit quoi la dernière fois ? Je t'ai dit que la prochaine fois que tu ramenais une fille, d'éviter de la faire crier que ce soit au niveau sexe ou au niveau torture.

- Qu'est-ce que tu as ? Tu es jalouse, parce que je fais crier quelqu'un plus que tu puisses crier ? »

Ni une ni deux, ma main se retrouve dans son sous-vêtement, elle lâche son emprise sur moi, et se laisse totalement faire. Je forme un parfait mouvement circulaire au niveau de son clitoris. J'insère deux doigts dans son vagin, l'autre main lui tient le dos. La tête en arrière, elle courbe son dos suite au plaisir que je lui offre. L'orgasme est bientôt présent alors je décide de retirer ma main, sous sa plus grande frustration. Elle part de la chambre carrelée, je reprends donc mon fouet pour assouvir mon plaisir. Je reprends :

« - À nous, désolé pour cet écart, je l'ai baisé une fois et désormais elle vient tout le temps toquer à ma porte.

- J'ai bien aimé ta façon de retourner la situation.

- Qu'est-ce que tu as, tu veux que je te procure la même chose ? »

Je lis dans son regard, elle le veut, sauf que son corps ne m'excite en aucun cas.

Je prends la première arme qui me passe sous la main et lui tranche la gorge.

Anna a encore gâché mon plaisir.

La vie est un jeu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant