Partie II. Irrésistible

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« - Et puis merde ! »

Je la désire, et puis son regard me fait perdre tous mes moyens, et aujourd'hui, c'est encore le cas. Elle me fixe et je fais de même.

Je la plaque contre la voiture, et plonge ma main dans sa nuque, et par conséquent, également ses cheveux.

Je plaque mes lèvres sur les siennes, je goûte une nouvelle fois à ses délicieuses lèvres, ce sentiment me fait un bien fou.

Cette femme est totalement irrésistible, et je ne peux rien y faire, je la désire. Je pourrais la regarder une journée entière, sans me lasser.

Anna intensifie le baiser en mettant ses mains, dans ma nuque, laissant passer ses doigts dans mes cheveux.

Je déplace mes mains, elles finissent sur les hanches de ma madame.

Elle saute et elle finit accrochée sur moi, comme un koala. Nos langues s'entrechoquent. Elle attrape quelques fois, ma lèvre inférieure à l'aide de sa dentition parfaite. Je l'emmène à la maison, laissant ses valises dans le coffre, après tout, elle n'a pas vraiment le choix. Je claque la porte pour être sûr qu'elle soit fermée.

Comment est-ce humainement possible de désirer une personne comme ça ? Comment est-ce possible de se faire désirer comme ça ?

Elle, allongée, ma tête au-dessus de la sienne, complètement sur elle. Je lui enlève le t-shirt. Je dépose des baisers allant de son cou à son bas-ventre. Je retire son pantalon, et le fait virevolter dans la pièce, je fais de même avec ses sous-vêtements. J'embrasse délicatement l'intérieur de ses cuisses. Elle tremble d'excitation. J'approche ma bouche de son clitoris, puis exerce un doux mouvement sur celui-ci.

Anna s'accroche à la couverture, et penche sa tête en arrière. Je décide d'introduire délicatement un doigt dans son vagin. Suite à cette action, elle se cambre. J'accélère les mouvements, des gémissements sont présents, et me satisfont amplement. L'orgasme lui vient rapidement, elle ne bouge plus.

Je me relève, et m'allonge à ses côtés. Ensemble, pendant plusieurs minutes, on regarde le plafond, blanc. Toujours nue, elle se retourne sur le côté, elle me regarde, différemment, elle place son bras sur mon ventre. Je sens mes joues se réchauffer.

Soudainement, elle se lève, et se rhabille. J'aurais préféré qu'elle reste dans mes bras. Elle finit de s'habiller, puis revient dans le lit, elle se colle à moi, et pose son bras sur moi, ainsi qu'une de ses jambes. On s'endort, suite à nos respirations régulières.

Je me réveille, Anna a sa tête posée sur mon torse, ce moment me comble de bonheur, alors qu'il ne se passe rien de particulier. Je la regarde, pendant qu'elle dort, elle est si belle, et elle a l'air si pur, mais cette femme a un côté séduisant, sexy, sauvage.

Comment fait-elle pour procurer autant d'effet, que je ne serais pas expliqué, c'est dingue ?

Elle bouge sa tête, celle-ci est dirigée vers moi, elle ouvre ses beaux yeux qui veulent tout et rien dire à la fois.

Elle sourit, ce qui fait apparaître ses dents. Elle me fixe, avec le même regard que précédemment, ce regard si différent de d'habitude. Elle décide enfin de briser le silence :

« - Je t'aime, Maria. »

La vie est un jeu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant