Partie II. Incompétente

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Ce n'est pas un poignard basique, c'est un poignard à double manche. La lame se trouve entre les deux manches.

Je détache la ceinture de Léa puis enlève l'ensemble de ses vêtements. Elle se retrouve nue, les yeux bandés, les jambes écartées. J'introduis lentement un côté du poignard dans son vagin et exerce des mouvements à l'aide de l'autre manche qui est dans ma main.

Son corps s'ondule à la vitesse de mes mouvements, elle crie de plaisir, mon pouce gauche entraîne un parfait mouvement sur son clitoris pendant que le poignard fait des allers-retours dans son vagin.

Ses cris me sont insupportables. Je lui retire le bandeau, là, elle va gueuler pour quelque chose.

Effectivement, à la vue de la lame bien affûtée, à quelques centimètres de son vagin, elle hurle de terreur. Là, ça devient plus intéressant.

Elle bouge dans tous les sens et remarque qu'elle est attaché, pendant son plaisir si intense, je l'avais attaché.

Je sors mon arme de son vagin, et attrape l'autre manche à l'aide de ma main gauche. Je lui dis qu'elle est incompétente, et en un coup, une entaille se forme au niveau de sa cuisse. Elle hurle de douleur, c'est fascinant. Je lui forme de nouvelles entailles sur tout le corps. Mes rires sont tellement présents que ça forme une mélodie. Je me place dans son dos, la lame sur son cou. Elle me supplie, les yeux remplis de peur. Je l'achève en un coup, sa tête tombe au sol, son regard et vide. C'est si satisfaisant.

Je me débarrasse très vite du corps. Mes jeux sont passés tellement vite et désormais, il est trois heures du matin, on arrive au dix-septième jour du marché avec Anna. Je pars prendre ma douche puis me couche dans mon lit après avoir changé les draps. Je déteste dormir dans le lit après que j'aie baisé et que la personne est morte.

Dix-septième jour

Je me réveille, Anna est à mes côtés. Elle prend la parole :

« - Alors la légende dit vrai, sur tous les points, à ce que je vois. »

Mais qu'est-ce qu'elle raconte, et qu'elle légende ? Elle reprend :

« - Parcontre, la prochaine fois que tu ramènes une fille, évites de la faire crier, que ce soit du sexe, ou de la torture.

- Pourquoi, t'es jalouse ? Elle ne répond pas. Tu es jalouse, au niveau sexe, ou niveau torture ? »

Elle ne répond toujours pas, elle m'énerve. Je la regarde, mal, elle, elle me fixe, mais pas comme d'habitude. Cette femme m'ensorcelle, et je ne peux rien y faire. Son regard m'excite, mais je reste de marbre. Je continue de la regarder, pendant qu'elle m'excite de plus en plus avec un simple regard. Je coupe ce silence interminable :

« - Arrête de me regarder comme ça, ça m'excite.

- Et alors ? En quoi c'est mal ? »

Sa provocation, m'excite davantage. Je me lève et pars dans la salle de bain, et m'enferme. Je suis partie, car sinon je lui aurais sûrement sauté dessus, et j'attends que ce soit d'elle-même, qu'elle soit d'accord. J'ai cette attirance, envers elle, que je ne saurais expliquer. Je m'assois sur le meuble du lavabo, et glisse ma main en dessous mon pyjama, pour atteindre mon clitoris. J'exécute un mouvement, à l'aide de mes doigts fins. Je penche ma tête suite à mon plaisir procuré par moi-même.

Anna toque, elle veut entrer.

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