Partie I. Torture psychologique

107 7 1
                                    

Je m'approche de ma belle victime.

« - Je vais t'emmener dans une chambre d'accord ? Et sache que l'arrogance que tu as utilisée pour me parler sera sévèrement punie. Je vais m'absenter quelque temps, je te laisserai le scotch bien évidemment, mais une fois ma punition réalisée, je te l'enlèverais, bien évidemment, tu seras enfermé à double tour, le temps que je m'absente, d'accord chéri ? »

Une fois l'avoir déplacé dans cette pièce sombre et enfermée, je pars dans la ville où je travaille, certes je ne travaille pas aujourd'hui, mais normalement sa famille va faire un avis de recherche.

Effectivement, dès que j'arrive en ville, je vois quelques affiches, je me gare. Une fillette affiche également des avis de recherche. Je m'approche de cette petite et je lui demande :

« - C'est ton papa ?

- Oui.

- Tu sais que je sais où il est ? Ton papa ?

- Ah bon ?

- Oui, tu veux venir le voir ?

- Oui. »

Je lui explique que vu qu'il est très malade, il est dans ma maison, mais elle me suit. Décidément, il n'a pas d'éducation, et sa fille aussi.

On arrive à la maison et je lui propose un verre de jus d'orange, le temps que je réveille son papa, elle accepte. J'entre dans la pièce où est enfermé son père.

« - Tu me déçois beaucoup, je pensais que tu lui aurais donné un minimum d'éducation, c'est logique, on doit dire à sa fille, Léa, de ne pas partir avec une inconnue, il commence à s'agiter, ne t'inquiète pas, je lui ai juste donné un jus d'orange. »

Je lui place un pistolet sur la tempe.

« - Un mot, je la tue, sous tes yeux, si tu fermes ta gueule, je la laisserai partir. »

Je le détache, et lui impose de faire semblant d'être malade s'il veut épargner sa fille. J'appelle donc sa fille pour qu'elle nous rejoigne. Le regard de Matthieu se remplit à nouveau de peur quand-il voit que je ne mentais pas. Je demande donc à la petite :

« - Dis moi, Léa, tu as fini ton verre de jus d'orange ?

- Oui, c'était très bon, merci. »

Je m'approche de l'oreille de son père et lui informe que j'ai mis du tranquillisant pour cheval dans son verre, et qu'elle va mourir dans environ une heure. Il se jette sur moi et commence à m'étrangler, au sol, grave erreur. Sa fille essaye de l'en empêcher. Il se retourne pour la repousser pour la protéger. J'interviens :

« - Elle en sait trop. »

Je sors mon flingue de ma poche et tire en pleine tête, la gamine. Du sang gicle dans toute la pièce. Son père hurle, et se jette sur sa fille, je pose donc mon arme sur sa tempe pour le forcer à se rasseoir, je le rattache donc à sa chaise. Il m'insulte de tous les noms, pendant que je rigole. Je m'approche de la petite et la met dans le sac, sous les cris de son misérable père.

Je pars ensuite la mettre dans un container, les camions passent après demain.

Je pars voir l'homme que je maintiens. Je l'interrompt durant ses innombrables insultes :

« - Tu sais, tu n'aurais pas fait l'arrogant, ta fille n'aurait jamais été en ma possession, tu avais beau m'attaquer, elle allait mourir, alors j'ai préféré le faire sous tes yeux. Donc je serais toi, j'arrêterai de m'insulter, car tu as d'autres êtres chers. »

La vie est un jeu, et la pitié n'en fait pas partie.

La vie est un jeu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant