J'ai envie de la provoquer, encore. Anna est face à moi dans le canapé, sur son téléphone, pendant que moi, je la fixe, en étant complètement nue. Je me mets au-dessus d'elle, et lui embrasse le cou. Elle m'interrompt :
« - Arrête Maria.
- Pourquoi ?
- Car je ne pourrais pas me retenir de te toucher. »
Je continue, elle me révèle son point faible, autant en profiter. Je commence à soulever son t-shirt, mais étonnamment, elle me retourne puis part du canapé, toujours concentré sur son téléphone, comment fait elle pour résister ? Je lui aurais déjà sauté dessus.
Cinquante-deuxième jour
Je me réveille en entendant quelqu'un hurler de peur, Anna n'est pas à mes côtés. Je me lève à une vitesse incalculable et essaye de deviner d'où provient ce hurlement.
La chambre de carrelage.
J'ouvre la porte et découvre une personne assise sur la chaise, avec Anna en train de l'attacher, elle est en sous-vêtements noirs en dentelle. Elle me regarde est s'exclame :
« - Cadeau ! »
J'ai envie de lui sauter dessus, c'est incontrôlable.
Une fois l'homme attaché, Anna se relève et se place à mon niveau. Je la regarde, droit dans les yeux. Ma main vient à son cou, je fais demi-tour sur moi-même, et la plaque contre le mur. Je commence :
« - Anna, je peux plus me contrôler. »
Mes lèvres s'emparent de sa bouche, enfermant sa lèvre inférieure entre mes dents. Je me rapproche d'elle, son corps chaud m'atteint. Je la prends par les hanches pour qu'elle saute dans mes bras.
J'ouvre la porte qui s'était refermée, je prends soin de la claquer, et bloquer les verrous. J'emmène ma dulcinée sur le lit, je lui arrache ses sous-vêtements en quelques secondes. Étant déjà nus, nos corps chauds se collent complètement nus. Mon souffle s'accélère juste à l'idée de goûter une nouvelle fois à son corps. Elle m'interrompt :
« - Cette fois, tu n'as pas intérêt à partir au plein milieu.
- T'inquiètes, ça ne risque pas. »
Mon corps allongé au-dessus du sien. Nos regards sont communs, des regards envahis de désirs. Ma bouche se plaque contre son cou, pendant que sa tête penche en arrière. Sa respiration est irrégulière. Ma bouche descend à sa poitrine pendant que ma main atterrit au niveau de son entre-jambes. Un tremblement lui parvient, pendant que je savoure son délicieux corps. Mes doigts s'agitent et touchent son intimité, son clitoris. Son dos se cambre suite à cette action, ses gémissements sont de plus en plus présents, c'est très satisfaisant. Son corps transpirant m'excite davantage. L'orgasme l'atteint.
Elle ne prit que quelques secondes pour s'approprier mon corps. Sa bouche embrasse chaque parcelle de mon corps. Sa langue effleure quelques fois ma peau. Elle glisse sa main entre mes jambes et exécute un parfait mouvement. Sa bouche descend pour atteindre mon clitoris, mes gémissements se mélange au bruit que provoque le mouvement de sa langue. Elle insère de doigts en moi, cette action me libère un cri, des plus profonds. La transpiration de l'ensemble de mon corps et bel et bien présente, elle arque ses mains à mes cuisses ce qui décuple le plaisir. Je me cambre, tout en tremblant, l'orgasme m'est venu, je ne bouge plus.
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La vie est un jeu
RomanceLa vie est un jeu, un jeu qui se gagne à l'aide de points, les points s'accumulent en faisant de bonnes actions. Les bonnes actions s'accumulent afin d'avoir un monde meilleur. Mais lorsque des personnes ne gagnent pas les points, leur vie est en da...