ATTENTION ! TW VIOLENCE ET VIOL.
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Je suis actuellement dans ma voiture avec Andrea à attendre tranquillement Giu, qui est actuellement avec sa psychologue. C'est sa première séance aujourd'hui, j'espère que ça s'est bien passé. Elle n'a pas voulu nous parler de ce qu'il c'était passé la bas. Alors j'espère qu'elle a réussi à s'ouvrir à sa psychologue. Ça me fait tellement de peine de la voir aussi triste, aussi renfermée, aussi vide. J'ai l'impression de me revoir il y a quelques années en arrière.
Je vois au loin Giu sortir du bâtiment de sa psy, et prendre la direction de la voiture puis monter dedans. Je décide de briser ce silence.
- Alors ma chérie, comment ça s'est passé ? Elle se contente seulement d'hausser les épaules. Tu as pu en discuter avec elle ? Elle hausse les épaules encore une fois. Je me rends compte que je n'aurais aucune réponse.
Je prends alors la route, direction la villa. Je vais demander à Maria si elle peut me garder Andrea une heure ou deux, histoire que j'aille me promener avec Giu. Je réfléchis au pour et au contre à savoir si je lui raconte mon histoire ou non. J'ai pas tellement le temps de réfléchir que nous voilà déjà devant la grille qui mène à la villa. Je rentre, je gare devant les marches. Je demande a Giu de rester dans la voiture le temps de sortir Andrea et de demander a Maria de garder ce dernier.
- Maria, je peux te demander un service ? Elle me fait signe positivement. Est ce que tu veux bien me garder Andrea maximum deux heures, je vais aller me promener avec Giu, je pense que ça peut que lui faire du bien.
- Oui, tu as raison, prends ton temps je te garde ce petit monstre le temps que tu ne sois pas là. A tout à l'heure ma chérie.
Je lui fais un bisou sur la joue, un bisou sur la joue d'Andrea et je regagne la voiture. J'ai remarqué qu'à trente minutes de route d'ici, il y avait un superbe lac. Alors je prends la direction de ce fameux lac sous un silence complet dans la voiture. J'espère pouvoir l'aider à lui raconter mon histoire.
Une fois arrivée, je demande à Giulia de sortir et de me suivre.- Aujourd'hui, ma chérie, je vais te raconter mon histoire, une histoire compliquée. Je ne veux pas que tu sois triste ou autre. Je veux juste te faire comprendre que quand on parle de nos problèmes, aussi gros soit il, ça fait que du bien.
J'ai parlé de mon problème à Nino seulement. Personne d'autre est au courant, personne d'autre sauf toi.Alors je commence à lui raconter exactement ce que j'ai raconté à Nino, elle pleure avec moi, elle se jette sur moi pour me faire un câlin, je lui explique que je vais beaucoup mieux depuis que j'en ai parlé à Nino, que je me sens plus légère. Je lui dit que je ne la forcerais pas à me parler à moi, mais qu'il faudrait qu'elle en parle pour lui faire du bien. Je lui dit que j'ai remarquée qu'elle faisait des cauchemars, qu'à chaque fois j'essaie de faire en sorte de l'aider pendant ses cauchemars. Je veux qu'elle sache que quoi qu'il arrive, moi je serai là pour elle comme Nino à été là pour moi quand je lui ai raconté mon histoire.
- J'étais en cours de mathématiques quand le directeur est venu pour me dire que ma nourrice était là. Alors je me suis demandé pourquoi tu étais là. J'avais peur qu'il soit arrivé quelque chose aux garçons ou à Maria. Et c'est là que je l'ai vue, plus loin. Mais le directeur était déjà reparti alors je ne pouvais pas lui dire que je ne la connaissais pas. Elle marque une pause, reprend son souffle. Alors je me suis dirigée vers elle, méfiante mais sans plus car je me suis dit qu'elle ne pouvait pas faire de mal. Ah, si j'avais su, dit-elle avec un rire ironique, je suis arrivée vers elle, elle m'a demandé de la suivre sans faire d'histoire en me montrant l'arme qu'elle avait sur elle. J'avais peur, alors j'ai décidé de la suivre. Devant le collège, elle m'a empoignée les cheveux et elle a tiré jusqu'à ce qu'on arrive dans sa voiture. Et c'est là qu'elle m'a assommée avec son flingue. Dit-elle en touchant sa bosse sur le front. Quand je me suis réveillée j'étais allongée sur le matelas et allongée. Elle hurlait, en me disant que tout était de ma faute de Mattia l'a quittée. Que j'allais le payer. Alors elle m'a frappée le visage, le corps. J'avais mal, très mal. Et puis elle s'est arrêtée. J'ai cru que j'allais enfin pouvoir respirer, que la douleur des coups allait disparaître. Si seulement j'avais su.. Et c'est là qu'il est arrivé. Dit-elle en éclatant en sanglots. Quand il m'a vue, il a rigolé. Il a dit " je vais violer la petite soeur de celui qui me cherche des poux depuis des semaines. Il n'a pas compris quand j'ai tabassé sa nourrice chérie." Et la ma respiration se bloque, je pleure avec elle, je la sert très fort dans mes bras. Il à baisser mes vêtements, à enlever les siens et à commencé à me violer. J'avais mal, je saignais, je lui hurlais d'arrêter mais il continuait, je voulais mourir. Et il a recommencé, deux fois. Il m'a violée trois fois Emma, j'ai tellement mal. Je me sens tellement sale. Ils avaient l'intention de me tuer et de jeter mon corps devant le portail.
Je la sers dans mes bras encore plus fort.
- Chut, ça va aller ma belle, on va le retrouver et on va lui faire payer. Tout est terminé, tu n'es plus en danger. On est là, on est tous là pour toi. Je te promets que ça va aller mieux à partir de maintenant. Je t'aime ma chérie.
Après toutes ces révélations, je décide d'envoyer un message à Mattia et de prendre la route.
[ - Je serais à la maison dans une petite demi heure. Il faut absolument que je te parle, c'est urgent. ]
Je démarre, sur la route je pense à ce bâtard de Benoît. Je me fais la promesse que ce fils de pute est un homme mort.
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La nounou des enfants Costa - Mafia
RomanceMattia Costa, chef de la mafia Italienne, il recherche une nourrice pour garder son fils de trois ans et sa sœur de quatorze ans quand elle n'est pas au collège. Emma Russo, recherche un emploi après que le bar où elle travaillait à fermé. Elle pos...