CHAPITRR 61 - FIN-

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Point de vue de Cole

On sort de la maison de ma mère, mes doigts toujours encerclés aux siens. Si elle savait à quel point la maintenant tout de suite j'aimerais lui faire l'amour. La voir tenir tête à ce connard était jouissifs, mais ce qui m'a encore plus fait exploser c'est quand de sa magnifique bouche elle a prononcé "futur mari".


Putain cette femme va vraiment m'achever. 


Cependant je lui ai dit que je devais l'emmener quelque part et il faut absolument qu'on y aille, j'ai eu le temps d'envoyer un message pour décaler notre rendez-vous plus tôt, pas la peine de se changer on y va maintenant, je ne veux pas attendre. Je veux qu'elle voit cette surprise, je veux voir son putain de sourire illuminé son visage comme elle vient de le faire avec moi.


— Tu t'es trompé de route Cole.


— Je t'avais dit que je t'emmènerais quelque part.


On arrive enfin à destination, je lui bande les yeux et la dirige jusqu'au lieu. Je la guide au mieux pour ne pas quel tribuche du haut de ses talons, qui lui fond des jambes magnifique.


Arriver en plein milieu de la pièce je lui demande d'ouvrir les yeux à trois, ma voix résonne puisque la pièce est vide. Une très bonne chose pour quelle puisse imaginer.


— 3, lui dis-je en enlevant mes mains de ses yeux.


Elle me fixe puis commence à regarder autour d'elle. Fronce les sourcils et me regarde une nouvelle fois.


— Cole qu'est-ce qu'on fait dans un appartement vide, bien que je l'ai jamais fait dans un lieu pareil, le lit chez toi m'allait très bien, me dit-elle en m'arrachant un sourire.


Elle commence à avancer et à en faire le tour. Le salon et la cuisine donne sur des grande baies vitrées, tout est dans un ton noir et blanc, très moderne. Il faut dire que je n'ai pas été très tendre avec ma chasseuse d'appart, il me fallait le bien idéale.
Au milieu du salon un escalier en colimaçon noir qui mène à l'étage, comportant lui, trois chambre toute donnant sur une grande terrasse.


— C'est chez nous, lui dis-je après avoir entendu plusieurs "wow" sortir de sa bouche.

Elle se retourne pour me faire face, me regarde avec ses petits yeux plissés à la recherche de réponses.


— Plus de femmes qui viennent toquer à des heures précoces et je n'ai pris aucune femmes contre ses murs, chuchoté-je à son oreille en reprenant ses mots.


Elle ancre ses yeux aux miens, mordille sa lèvre inférieure, ce tic a tendance à me rendre fou. 


De ma main droite je la lui passe sur la joue et descend sur sa nuque pour l'attirer encore plus près de moi. 


— As-tu reconsidéré ma proposition Kay,lui dis- je en fixant ses lèvres. 


— Embrasse-moi, me supplie- t-elle. 


— Kay, gondé-je pour éviter qu'elle fasse diversion. 


Elle plonge sur mes lèvres et avec aucune attente les miennes répondent aux siennes directement. Bien que ces lèvres se soient posées de manière douce, mon attente depuis ces quelques jours se fait plus forte et je prends ses lèvres plus sauvagement. 

Je plaque son dos contre le mur du salon sans pour autant séparer nos lèvres. Les fines bretelles de sa robe retombent sur ses épaules et j'en profite pour les enlever et empoigné son sein gauche. Putain son petit cris de satisfaction conditionne encore plus mon sexe dur dans mon pantalon.

De mon autre main je lui soulève la robe, je peux remercier cette fente qui me permet d'accéder plus rapidement à son intimité. D'un doigt je soulève son string et je passe en dessous avec l'autre, un sourire prend place sur mes lèvres lorsque je m'aperçois qu'elle est déjà prête. Je la retourne pour dézipper sa robe, elle tombe au sol ce qui me permet de voir ses courbes que j'aime tant. Je l'attrape par le poignet afin qu'elle se retourne pour me faire face, et nos bouches joues entres elle dans un combat acharné pour savoir qui cédera le premier. Je fini par le faire, mon érection est bien trop douloureuse. Ma bouche descend dans son cou et la mordille de plus en plus en entendant ses gémissements et son souffle saccadé, un son bien trop bon à mes oreilles.

Sa bouche toujours collée à la mienne, elle déboutonne mon pantalon de costard et y glisse ses petits doigts. Elle attrape ma verge dressé depuis le scandale qu'elle a fait chez ma mère.


— Putain ! Halète-je.


Elle affiche un sourire ravi de ce qu'elle provoque en moi. 

Mon cerveau livre bataille avec mon corps, je refuse de la prendre la maintenant tant qu'elle n’a pas reconsidéré ma putain de proposition, mais de l'autre mon corps n'est pas du même avis.


— Et puis merde ! lancé-je en le retirant son string. 


Je passe mon t-shirt au-dessus de ma tête, capture ses lèvres une nouvelle fois en m'enfonçant en elle en même temps, ce qui lui provoque en hoquetement de surprise. 

J'aimerais la prendre dans tous les recoins de cette putain d'appartement. Je crois que d'avoir attendu bien trop longtemps, ma transformer en un petit puceau, qui n'a jamais toucher de femme de sa vie, et ce n'est pas avec ses "encore" qu'elle murmure dans mes oreilles à chaque coup de reins, qui va arranger cette putain de situation. Elle ne doit pas être très loin elle aussi, alors j'humidifie mes deux doigts et vient jouer avec son point sensible. J'aime quand elle se cambre.


— Cole... souffle-t-elle encore absorbée par son orgasme qui vient d'arriver et qui a provoqué le mien par la suite. 


Je colle son front au mien et nous souffles saccadés prennent le même rythme.


— J'avais reconsidéré ta proposition depuis un moment, me sourit- t-elle. 


Putain ce sourire de garce que j'aimerais me coltiner le reste de ma vie. 


— Etes-vous prêt à me coltiner le reste de votre vie M FIRST, parce qu'il n'y aura plus jamais de moi sans toi. 


PU.TAIN.

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Merci d'avoir lu ❤️

MATCH RETOUROù les histoires vivent. Découvrez maintenant