Lorenzo
L'avion atterrit. Oh putain qu'est-ce qu'elle m'a manqué !Bien sûr j'étais bouillant de rage quand j'ai su qu'elle allait coucher avec lui. Mais je n'ai rien dit. C'est son seul moyen de s'en débarrasser, et puis si elle m'a imaginé à sa place...
J'espère que plus jamais elle ne sera mêlée à tout ça. Elle s'est quand même pris une balle.
Ils descendent de l'avion. Elle enlace en premier sa famille avant de venir à moi et me prendre dans ses bras de toute ses forces.
Enfin, de toute sa petite force.
- Lorenzo tu m'étouffes !
Je desserre mes bras autour d'elle.
- Désolé mais tu m'as tellement manqué. Dis-je avant de déposer mes lèvres sur les siennes.
- Lorenzo tu as les mains trop baladeuses. Arrêtez ça. Dit son père directement.
Je le regarde confus, il est sérieux ?
- Rayan s'il te plaît explique-moi, tu la laisses coucher avec un inconnu de 25 ans mais mon fils que tu connais depuis dix ans et qui est un homme d'honneur tu ne le laisses pas embrasser ta fille ? Dit mon père.
- C'est deux choses différentes Alejandro, et en plus le faire devant moi c'est osé.
- Oui bah j'ai le droit d'embrasser ma petite amie ou c'est interdit ? Dis-je.
- Lorenzo. Dit Ama' en ricanant.
Je vois aussi ma tante qui commence à rigoler.
- Rayan laisse-les tranquilles Alejandro a raison.
- Tu es ma femme tu devrais être de mon côté toi.
- Et je suis aussi sa mère. Donc monte dans la voiture mi amor qu'on rentre à la maison. Ama' va dormir chez Lorenzo ce soir.
On monte dans une voiture avec mon père et tio Alex.
- Je peux avoir ton téléphone Ama' ?
- Pourquoi ?
- Ne pose pas de question juste donne le moi. Insiste mon oncle.
J'attends de rentrer à la maison pour discuter avec elle de ce qui s'est passé. Je veux m'assurer qu'elle va bien. Même si elle m'a dit que ça s'était bien passé.
Amaliya
Je l'embrasse langoureusement et échange nos rôles pour que je sois au dessus. Je suis complètement prête à faire l'amour avec lui, et je le veux.Il se redresse m'enlaçant de ses bras.
- Ama', on ne devrait pas...
- Je sais... il faut... qu'on s'arrête. Dis-je en continuant de l'embrasser.
Je passe mes mains sous son t-shirt pour caresser ses abdos.
Il détache ses lèvres des miennes et tiens mes mains dans les siennes, essoufflé.
- Mes parents sont juste en bas.
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AMALIYA T°2
Romansa"Et pour cela, tu t'es infligé la douleur que je ressentais. Tout ça pour qu'on se retrouve ici, sur le sol de ce vestiaire, à partager nos larmes. Nos souffrances, qui nous ont tout les deux démunis de tout bonheur. Le monde nous a tué, il nous a...