-TERMINÉ -
Enfant, elle c'était toujours dit que "si nous sommes perdu dans l'obscurité, nous devons chercher la lumière"
Elle a trouvé cette lumière dans le reflet de ses yeux, du moins c'est ce qu'elle pensait.
Car sa lumière avait bea...
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Shota Aizawa est complètement barjo.
Entre les menaces de virer les élèves les "plus nuls" en début d'année, cette épreuve où les élèves devaient affronter leurs professeurs ayant comme seul retenue des poids sur les poignées et les chevilles et ce camp d'été où il compte pousser les alter de ses élèves à leur paroxysme, je commence à croire que cet homme est réellement taré.
Nous sommes dans la salle de pause du personnel, comme chaque matin, le premier de nous deux qui arrive prépare la boisson de l'autre. Ce matin, c'est lui qui est arrivé en premier et m'a donc préparé mon thé, nous nous sommes installé, et alors que d'habitude il reste silencieux, il a décidé de me parler des entrainements prévue au camp d'été.
J'écarquille les yeux devant l'homme en face de moi, alors qu'il reprend une gorgée de café nonchalamment, ses cheveux noirs tombent sur ses épaules sur ses longues bandes blanches lui servant d'écharpe et d'arme, ses yeux noirs rougeâtres de fatigue me fixent, clignant à plusieurs reprises, ne comprenant surement pas mon visage surpris.
- Tu cherches à tuer ces gosses Aizawa ? Je lui demande avant de boire une gorgée de thé.
Il fronce ses fins sourcils, faisant bouger sa cicatrice sous son œil droit, avant de me répondre.
- Alors premièrement, non et deuxièmement je t'ai déjà dit de m'appeler Shota. Il me répond de sa voix grave.
- Désolé, Shota, j'insiste sur son prénom, mais plus sérieusement, pourquoi leur faire des entrainement aussi dur ?
Il me fixe, croisant les bras dans un soupir en levant un sourcil vers moi.
- Tu sais pourquoi. Il me répond d'un ton ferme, mais pas violent.
Je cligne des yeux, arrêtant de les écarquiller, détournant le regard. Il a raison, je le sais, mais cette raison me serre le coeur.
- Pour les préparer contre les vrais vilains, je sais oui, je lui répond, me mordant les joues, ce ne sont que des enfants, ça me brise le coeur.
