Chapitre 12

166 14 7
                                    


TW: mention de meurtres de masses et crime contre l'humanité.

Bonne lecture !




Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.






   Mes yeux s'ouvrent doucement, lentement, d'appréhension face à la potentielle lumière qui va m'aveugler, mais rien, aucune lumière ne traverse la pièce, il fait nuit noire. 

   Encore groggy, j'hume de mécontentement en me frottant les joues. Je me relève, m'étirant. Je ne vois rien autour de moi, je ne sais pas où je suis, ou même quelle heure il est. Je cherche mon téléphone, plaçant mes mains à tâtons sur le matelas, jusqu'à ce que ma main touche la surface vitrée de mon portable, je l'attrape, appuyant sur le bouton pour l'allumer, mais un logo s'affiche sur l'écran, m'indiquant qu'il n'a plus de batterie, fais chier. 

   Je me sert de cette minuscule lumière pour éclairer la surface devant moi, ça n'aide pas vraiment mais je vois vaguement un mur ainsi qu'un interrupteur sur celui-ci. Rapidement, je me lève, marchant vers le mur, les mains devant moi, je dois avoir l'air d'une sacrée abrutie. 

   J'appuie sur l'interrupteur, une fois la lumière allumée, je cligne des yeux, m'habituant lentement à la douloureuse lumière vive, je reconnais l'endroit, ma chambre d'internat. Parfaitement vide et fade. 

   Je me souviens alors que juste après être arrivé ici, je me suis étalée sur le lit, Shota à mes cotés -qui c'est visiblement volatilisé- , et juste après qu'il m'est fait quelques révélations sur son passé, je me suis endormie sur ce lit sans draps. 

   Je cherche mon sac des yeux, il est sur le sol, au pied du lit, j'ai du le lâcher ici en m'allongeant. Je l'attrape avant de chercher mon chargeur, sauf que je suis contrainte de sortir pratiquement toutes mes affaires que j'étale sur mon lit pour le trouver. 

   Une fois celui-ci en main, je cherche une prise du regard, j'en vois une derrière ma table de nuit, je branche mon téléphone, avant de regarder de nouveau la pièce, patientant. 

   Une simple chambre entre quatre murs blanc cassé, un parquet en bois brun, une grande fenêtre double vitrage derrière de grand rideaux noirs, et quelques meubles simple tel que 2 tables de chevet et un bureau en bois clair. 

DELUSIONAL ( Dabi/Toya x F.reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant