Chapitre 17

134 13 9
                                    


TW: Hawks (oui, comme Endeavor, c'est un trigger).

Petit remerciement au passage pour tous vos votes, ça fait vraiment plaisir et ça me donne du courage ! 

Bonne lecture les loulous ! 







Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.







   Je rentre dans le grand building aux portes vitrées, dépassant les vigiles à l'entrée. 

   Doublant les réceptionnistes, je me dirige vers la double porte noir, comme me l'a indiqué l'homme dans le message, puis je l'ouvre doucement. 

   Devant moi s'étant un long couloir au carrelage noir marbré, mes talons claquent contre le sol brillant alors que j'avance vers le fond de celui-ci, là d'où provient un large brouhaha, des cries d'excitations suivie d'applaudissements, de ce que je suppose être plusieurs milliers de personnes. 

   J'entre finalement dans la salle, mes yeux s'écarquillent. Je me retrouve au fond d'une salle gigantesque. Tel un stade, des sièges s'étendent tout du long de celle-ci, de plus en plus surélevés à mesure que l'on se rapproche du fond, là où je suis. 

   Etant en hauteur, je vois la grande scène en contrebas, déjà 7 personnes s'y tiennent, des caméras les entourent, retranscrivant les images sur deux écrans de par et d'autre de la scène. 

   Je tente comme je peux d'ignorer les centaines de pensées m'entourant, les plus perturbante étant celle de certains hommes sur la jeune femme métisse se tenant fièrement sur la scène, je ravale mon dégout. Je ne m'inquiète pas pour elle, je me doute qu'elle ne se banalise pas des pensées ou mots écœurant de certains hommes à son égard, mais je ne peux empêcher les remontés acides traversant ma gorge. 

   Je reste au fond de la salle, même si il m'a réservé une place au premier rang, je ne m'y rend pas, ce n'est pas comme si il l'avait payé. Je ne vois pas pourquoi je me rendrais devant pour assister au spectacle alors qu'il veut simplement me parler, je ne sais même pas pourquoi je reste ici honnêtement.  

   Je recentre finalement mon attention sur la scène lorsque j'entend le nom de la personne qui m'a convié ici, arrivant sur la scène, d'une démarche presque nonchalante, dans sa tunique habituelle, un pantalon cargo et une veste à fourrure beige sur un simple tee-shirt blanc, ses yeux sont plissée malicieusement derrière ses grandes lunettes jaunes, ses cheveux ramenés en arrière traines dans sa nuque sous son casque, comme ses ailes, dont les plumes d'un rouge vif coulent dans son dos. 

DELUSIONAL ( Dabi/Toya x F.reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant