______________PDV AZRA______________
Je me réveille, je ne suis pas dans ma chambre, j'inspect la pièce, je suis dans un hôpital, j'observe la fenêtre pour me détendre j'avais mal partout, il ne m'a pas raté.
C'était tellement calme que je ferme les yeux pour m'endormir quand l'infirmière entre
- Elle : oh vous vous êtes réveiller madame ?
( Si tu trouves mes yeux ouverts, pourquoi me poser la question)- moi: oui oui
- Elle : vous devez sûrement avoir mal c'est normal mais ne vous inquiéter pas ce n'est pas très grave, vous irez mieux dans deux ou trois jours.
Je vais vous emmener à manger...des minutes passe et elle revient avec un plateau
- elle : tenez.
- moi : non Merci
- elle : c'est pour reprendre des forces
- moi : j'ai dit non merci toi aussi
- elle : mais vous devez manger
Elle commençait à m'énerver, je voulais lui donner une gifle quand votre pote entre :
- lui: il y'a un problème ici?
- l'infirmière : je lui apporte à manger mais elle ne veut pas manger, elle doit reprendre des forces pour sortir demain
- moi : parce qu'en plus c'est demain que je sors ?
- Ferath à l'infirmière : Ne vous inquiéter pas elle va manger
L'infirmière part et je me retrouve seule avec le nerveux
- Ferath : tu fais vivre la misère aux gens même à l'hôpital
- moi : ...
- lui : tu manges si tu veux moi je m'en tape, ne pense pas que je vais te supplier.
Je regarde vers la fenêtre, des minutes passe et il dit
- lui : je t'autorise d'appeler ta sœur et quelques personnes pour le mariage, il aura lieu la semaine prochaine
Et il part, sans même s'excuser un abrutis Celui là...Je passe 2 semaines, je me suis marié et j'ai invité Mariam et les autres filles... Elle a parlé de mon mariage à Ilyas et il n'était même pas là et elle, elle n'avait pas l'autorisation de sortir ce soir là, ma tante et lynah sorte tout le temps, elle est obligé de surveiller la maison. j'étais donc seule... Je me suis habitué d'être abandonné de toute les façons.
Avec le nerveux c'est pareil, on se parle pas. Je fais tout le ménage comme sa domestique et il quitte la maison le matin et reviens le soir, ce qui m'arrange d'ailleurs... J'ai fais connaissance de ses amis et ils sont très gentils avec moi... Il y'a Ibrahim qui se comporte d'ailleurs comme mon frère je l'aime bien.
Avec ma belle famille, tout va bien. Le père de Ferath m'aimes bien et moi aussi d'ailleurs, ils sont très adorables et Mara est comme ma petite sœur, ma meilleure amie.
Il est 00h j'ai un peu soif alors je descend prendre de l'eau et remarque que l'autre n'est pas encore venu, je me demande si tout va bien... Je sais que je le déteste mais je ne suis pas cruelle non plus. Je m'apprêtais à monter m'endormir quand la porte s'ouvre sur le nerveux blessé il n'arrivait même plus à marcher alors je cours vers lui.
-Moi : oh lala qu'est-ce que t'as Ferath?
- Lui : tu ne vois pas que je suis blessé ?
Je l'aide donc à monter les escaliers et nous entrons dans sa salle de bains, je me met à le soigner et il a une très grande blessures au ventre.
- Moi: c'est très grave on doit aller à l'hôpital
- Lui: si tu ne veux pas le faire, laisse tomber je le ferai tout seul
- Moi ( en prenant un coton imbibé d'alcool) : attention sa fera mal
Quand je lui met de l'alcool il prend une bouteille de whisky qui se trouver bizarrement dans la salle de bain et boit
- je termine de désinfecter sa plaie et lui met un pansement
- moi: comment tu t'es fais ça ?
- lui: tu penses vraiment que je vais te le dire ?
- moi: oui si je te pose la question
-lui : ne pense pas que parce que tu m'as aidé on est devenu pote, ne prend pas la confiance même avec une blessure je t'éclate si je veux.
Et à ce mot je rentre dans ma chambre me coucher, qu'il se débrouille tout seule,
Quand j'arrive devant la porte de sa chambre je le tship et cours verrouillé ma chambre, je l'entends juré des insultes, ce qui me fait rire. Un vieux fou ce ferath
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Un Mal Pour Un Bien
FanfictionHistoire fictive inspiré des faits réel. Azra vous raconte son histoire : mes parents sont morts depuis je suis petite, je n'ai plus aucun souvenirs d'eux et j'ai été recueillies par mon oncle qui m'a élevé comme son enfant, mais à sa mort sa femme...