Précédemment
Il est 21h les garçons sont partis, je suis au salon entrain de jouer avec Innaya, je fais la marionnette avec des chaussettes et elle éclate de rire, trop chou cette petite.
- moi : bleubleubleub le méchant est là
- Innaya : ha ha ha ha ( elle rit)
On jouait toujours quand Ferath vient
- Ferath : vous jouez sans moi!?
- moi ( je ne le calcul pas)
- Ferath : alors moi aussi je veux jouer, il n'y a plus de chaussettes?
___________Maintenant____________
- Moi: laisse nous en paix stp
- Ferath : je n'ai pas le droit de jouer avec ma femme et ma fille ?
- moi : maintenant qu'il n'y a plus personne tu te rappelles que je suis ta femme ? Et que c'est ta fille ?
( En montrant Innaya parce qu'elle aussi ,il a ignoré)- Ferath : mais de quoi tu parles ?
- moi : quand il y'a tes potes tu nous ignores comme si tu avais honte de nous
- Ferath : mais ce n'est pas ça Azra tu sais...
- moi : je ne sais rien du tout laisse moi stp
- Ferath : essaie un peu de me comprendre chérie ,c'est vrai je suis leur potes mais plus loin que ça, je suis leur chef, il ne peuvent pas me voir comme quand je suis avec vous, il ne me respecterons plus.
- moi : mais arrête avec tes bêtises, si tu affectionnes ta femme et ta fille ça ne changeras rien
- Ferath : CE N'EST PAS DE L'AFFECTION DONT JE PARLE.
- moi ( en me levant avec Innaya pour partir) : C'EST TOUJOURS COMME ÇA AVEC TOI, ESSAIE DE TROUVER UN BON MENSONGE POUR EXPLIQUER ÇA, JE NE SUIS PAS BÊTE.
- Ferath : MAIS TU COMPREND TOUT DE TRAVERS, JE NE PEUX PAS PERMETTRE QU'ILS CONNAISSENT MES FAIBLESSES, C'EST HORS DE QUESTION ÇA.
- moi ( avec une voix tremblante) : tes faiblesses?
- Ferath : oui , ÇA M'ÉNERVE TELLEMENT MAIS TU ES MA FAIBLESSE, MON PUTAIN DE POINT FAIBLE ET INNAYA AUSSI.
Il était entrain de trembler comme si ça le brûlait tout ce qu'il m'a dit, je m'approche de lui, je lui prend la main, il me regarde droit dans les yeux tout comme moi
- Ferath : Azra tu ne sais pas beaucoup des choses ma chérie, si mes ennemis savaient à quel point je t'aime, tu seras en danger, il vont te faire du mal askim, et ça je ne pourrai le supporter
Il était vraiment stressé, il pensait beaucoup et je me sentais mal à sa place, il était inquiet et je ne comprenais pas pourquoi et même ce qu'il me disais je n'arrivais pas à comprendre. Je voulais le rassurer
- moi : je t'aime encore plus et ne t'inquiètes pas il n'y a aucun ennemis, tant que je suis avec toi je suis en sécurité.
- Ferath : tu ne sais pas de quoi tu parles, pas du tout
Il laisse ma main et il part sans rien dire, je me demande où es ce qu'il part à cette heure , ça m'inquiète, j'espère il ne fera pas du n'importe quoi.
_____________PDV FERATH___________
Je prend ma voiture et je pars, Azra ne se rend pas compte qu'elle et Inna, je les aimes très fort et ça le met directement en danger, je le mets en danger en le laissant avec moi, vous vous demandez de quel dangers je parle sûrement
En bref je suis le chef d'un grand Gang, on trafique les armes, on vend la drogue et un fait tout d'illégal....
Il y'a 3 heures avant le dîner j'ai reçu un message d'Ibrahim qui me disait que nos ennemis veulent se venger de nous, apparemment c'est GOKAN et lui il s'en prend à la famille et non la personne en soit, et ce que m'a dit Azra m'énerve, ça m'a rappelé tout ça et je ne peux pas la mettre en danger, surtout pas ça.
J'arrive chez Ibrahim, il était plus stressé que moi
- moi : Ibrah de quel ennemis tu parles ? C'est bien GOKAN ?
- Ibrah : oui c'est lui, il est devenu très puissant et il te vise, il veut se venger de toi
- Ferath : oui je sais, trouve le pour moi ,on réglera ça d'homme à homme
- Ibrah : je sais Ferath, mais pour l'instant tu dois être calme et il y'a une chose dont je voulais te parler
- moi : quoi?
- Ibrah : Abdoulaye est avec eux...
- moi : putain il a vu ma femme, je les ai présenté putain
- Ibrah : il faut expliquer à Azra ce qu'on est pour qu'elle prenne des précautions
- moi : jamais, t'es conscient que si je le lui dis, tout va changer elle ne m'aimeras plus jamais
- lui : qu'est-ce que tu en sais, mais en plus c'est une question de sécurité
- moi : putain je sais, je sais....
- lui : on le retrouvera et on va le faire payer Fréro, il faut juste qu'on sache où il est avant qu'il nous fasse un sale coup.
On discute et je retourne chez moi. je monte dans la chambre et je la trouve endormi avec Innaya dans mon lit, j'aime trop cette image, elles sont trop mignonnes ensemble, pour moi elle est vraiment la mère d'Innaya.
Il est 01h je n'ai pas sommeil alors je me met au jardin sur la pelouse et j'observe les étoiles, c'est si paisible la nuit.
J'entends de pas derrière moi et à l'odeur de son parfum je sais qui c'est.
- Azra : ça va ?
- moi : ouais, pourquoi t'es réveillé à cette heure ?
- Azra : je me suis habitué de dormir avec toi, sans toi ce n'est plus pareil
- moi ( je lâche un sourire) : ohh intéressant
- Azra ( elle se met à côté de moi et pose sa tête sur mon épaule) : tu étais où ?
- moi : marché
- elle : ah d'accord, demain maïra organise une fête chez elle et je me demandais qui allait garder Innaya
- moi : c'est simple toi
- elle : je serai chez maïra il faut que je l'emmène avec moi?
- moi : non bien-sûr que non , tu n'iras nulle part, tu resteras ici avec Inna
- Azra : Ferath tu n'as pas le droit de faire ça, elle m'invite Pour la première fois dans sa soirée
- moi : Je ne changerai pas d'avis, c'est trop dangereux
Elle regarde ailleurs et je peux voir qu'elle est entrain de boudé
- moi : tu boudes ?
- elle : non je ne boude pas
- moi : viens me faire un câlin alors
- elle : je n'ai pas envie
- moi : d'accord alors tu boudes...
- elle : mais essaie de me comprendre toi aussi , c'est la première fois qu'elle m'invite mais toi tu n'arrête pas de parler de ton danger imaginaire...
- Moi : argh Azra, stp ne commence pas
- elle : stp autorise moi d'y aller alors.
Pouf elle m'énerve quand elle insiste comme ça, elle me rend faible putain je ne peux pas continuer comme ça.
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Un Mal Pour Un Bien
FanfictionHistoire fictive inspiré des faits réel. Azra vous raconte son histoire : mes parents sont morts depuis je suis petite, je n'ai plus aucun souvenirs d'eux et j'ai été recueillies par mon oncle qui m'a élevé comme son enfant, mais à sa mort sa femme...