chapitre 18

22 4 0
                                    


J'étais dans ma chambre, je discutais avec Mariam. Je lui raconte tout ce qui s'est passé avec la poufiasse et elle me dit

- Mariam : il fallait que je sois là, on allait lui faire regretter ses Actes

- moi : elle m'énerve tellement, elle est toujours là à côté de lui, elle ne le laisse pas respiré.

- elle : lui qui?

- moi : mon mari, fin Ferath

- elle : tu ne penses pas que t'es jalouse toi!?

- moi : pas du tout, jalouse de quoi même ?

- elle : tu es jalouse parce que tu commences à ressentir quelques chose pour lui

- moi : je ne ressens qu'une seule chose pour lui depuis le début c'est de la haine

- elle : t'es peut-être passé de la haine à l'amour, tu sais que ça existe ça et entre le deux, il n'y a qu'un seul pas.

- moi : n'importe quoi, ces idioties ne marche pas avec moi

- elle : Et pourquoi son numéro n'est plus enregistré "le nerveux" mais plutôt "mon protecteur"

- moi : c'est bon arrête de m'embrouiller, je le déteste point barre

- elle : d'accord c'est comme tu veux
Je dois te laisser... Demain j'ai examens
- moi : d'accord petite

On raccroche et je pense à ce qu'elle m'a dit, c'est n'est pas possible je ne peux pas l'aimer moi...

Je m'endors alors sur ça.

Le lendemain

Je me réveille il était 7h, le nerveux n'est pas là,  je l'ai entendu sortir, je crois qu'on le cherchais dès le matin au boulot.

Je descend, fais mon petit déjeuner et me met à tout ranger, je fais le grand rangement, je nettoie toute la maison, je change la disposition du salon; je rajoute aussi un peu des décorations comme nos photos de mariage et des cadres,c'était trop beau.

Je m'attaque à sa chambre et sous son lit, j'appercois une très grosse mallette noir.

Par curiosité Je l'ouvre et ce que je vois, vous ne le croirai jamais, il y'avait beaucoup d'armes et des gants noir... J'ai tellement peur de ces chose c'est incroyable qu'il ait ça, je m'inquiète, qu'est-ce qu'il fait avec ça.

Je termine le ménage et ce que j'ai vu dans sa chambre m'inquiétais toujours, je décide de ne plus y penser, peut être que je me fais des soucis pour rien, peut être qu'il s'en servait juste pour se protéger et que ça n'étais rien de grave. Fin j'essayeais de me le convaincre.

J'étais seule, je cuisinais pour le soir et je regardais la télé en même temps.

Le temps passe quand Ferath, Ibrahim et 3 de leurs potes entrent.

Il y'avait Émir un métisse, Boubacar un rebeux et Abdoulaye un arabe.
Ils entrent et me trouve au salon heureusement j'avais déjà enlever mon vieux short, j'avais maintenant une robe évasée pas très longue ni courte d'ailleurs, sinon il allait encore me traiter de salope.

Ibrahim viens me faire un câlin , Ferath était au téléphone un peu plus loin de nous.

- Ibrah : ma femme ça va ?

- moi : en pleine forme et toi ?

- Ibrah : j'ai faim

- Émir : vous nous présenter pas?

- Boubacar : c'est ça. Je le fais moi même alors, Bonjour , le BG que tu vois devant toi c'est Bouba. Et je viens demander ta main

On éclate de rire, il est plutot beau Bouba mais le plus beau mais le plus beau reste Ferath

Un Mal Pour Un Bien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant