chapitre 60

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Coucou, juste pour vous priez de sauter ce chapitre, c'est le 60. Passez directement au 51, pour une bonne compréhension de l'histoire. J'en profite directement pour vous demander de m'excuser pour ce petit désordre lors de l'écriture. Votez et partagez si l'histoire vous plait.

On rentrait rejoindre les autres quand on voit, tout les autres en panique et Bouba courir avec Mara dans ses bras...

On voit Léna courir, Bouba court jusqu'à la voiture, émir et Amina aussi et on demande à Mariam qui partait aussi rejoindre Ibrah dans la voiture.

- Moi : Mariam qu'est ce qu'il se passe ?

- elle : Léna voulait venir t'enfoncer le couteau qu'elle avait, Mara l'a vu et à tenter de l'en empêcher mais malheureusement elle le lui a planté dans le ventre

- moi : oh lala putain

Et Ferath se met à courir jusqu'à la voiture, je le rejoins et on bouge. Avec Mariam on a porté nos pantalon dans la voiture on avait pas le choix.

Arrivé à l'hosto, Mara était déjà en salle d'opération et Bouba était en panique totale, il avait peur. Ibrah avait sa tête dans le genoux et Ferath était dans la voiture, je le rejoins et il pleurait, c'était la première fois que je le voyais pleurer. Je lui fais un câlin et essaie de le rassurer

- moi : tout ira bien Ferath, elle ira mieux

- lui : tout ça c'est de ma faute, j'aurai dû tué cette Léna avant, s'il lui arrive quelque chose je m'en voudrais

- moi : ce n'est pas de ta faute mon amour, cette femme est folle, Mara est très forte elle s'en sortira tu verras

- Ferath : ma p'tite sœur est en danger et je ne peux rien faire...

Je le prends dans me bras et je continue de le rassurer.

3 heures après

L'opération est terminé, le docteur sort de la salle d'opération

- Bouba : comment ils vont docteur ?

- docteur : c'est vous le père ?

- Ferath : votre gueule vous la fermé, répondez d'abord à sa question

- moi : mon amour calme toi stp

- le docteur : vous devez écouté votre femme

- Bouba : mais répondez à ma question vous aussi

- docteur : ah oui, le couteau était rentré en profondeur, on avait qu'un seule choix le bébé ou la maman, on avait pas le temps de vous le demander c'était une opération vraiment critique

Ferath se laisse tomber par terre contre le mur , Bouba touche sa tête, on voulait tous entendre qu'il avait sauvé Mara...

- Ibrah : Dites moi que vous avez sauvé la mère...

- le docteur : on a sauvé la maman, mais on l'a plongée dans le coma, elle se réveillera. Désolé pour votre garçon ( en s'adressant à bouba) vous en aurez d'autres

Et le docteur s'en va, tous avait l'air soulagé sauf Bouba qui était profondément triste, il vient de perdre son enfant et sa femme est entrain de se battre contre la mort.

Je vous passe 5 jours, Mara est toujours dans le coma, on part la voir tout le jours. On était au Salon, Innaya regardait son dessin et Ferath était dans son bureau. On frappe à la porte je vais ouvrir et je vois un homme grand, costaud qui ressemble à Mara, wallah que c'est Mara en homme

- lui : bonjour es ce que ferath est là?
- moi : euh bonjour oui, euh oui entrer
Il entre, il prend place  , il bug en voyant innaya, je le vois la fixer, je voulais appeler ferath mais ma fille allait rester seule avec un inconnu, elle était plongée dans son dessin, alors je les enferme et pars avec la clef.

- moi : ferath il y'a quelqu'un qui te cherche en bas
- lui : je n'ai envie de voir personne dit lui de partir
- moi : stp descend, son visage me dit un truc
- lui : d'accord on y vas

On descend, il était dos à nous, ferath s'approche quand il arrive à son niveau, le mec se retourne et je n'ai pas compris ferath était ému, il se prenne violemment dans le bras et ils ont laissé couler des larmes. Innaya fronce les sur-cils en le voyant comme ça, on voulait des explications. Un temps s'écoule et ils parlent enfin
- ferath: putain c'est toi, pourquoi tu m'as laissé ?
- l'homme: je suis désolé mon frère, je suis là maintenant putain que t'as grandi , t'es un homme maintenant

Je le laisse faire leur retrouvailles, c'est son frère je viens de le comprendre, ils se retrouvent après un long temps, ils ont beaucoup à se dire je monte donc et le laisse seul.

- KAN : On a perdu toute ces années
- Ferath : tout ça parce que tu es parti
- KAN : je devais partir
- Ferath : je me souviens t'avoir supplié de me pardonner mais tu ne m'as jamais écouté tu étais trop énervé contre moi pour la mort de papa
- KAN : Pas du tout je ne t'en voulais pas

Un Mal Pour Un Bien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant