Chapitre 11: Elena

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Coucou mes cocos, j'espère que l'histoire vous entraîne. Bien ! Juste pour préciser que ceci est une fiction et donc je ne citerais pas le nom propre des lieux où les personnages iront, limite, j'inventerais, mais sa sera rare. Merci de votre compréhension.

Nous sommes où là ?

Il enlève la clé du contact de sa moto et me demande de descendre. Une autre étape qui n'a pas l'air plus facile que monter, mais je m'agrippe à lui et descend de justesse.

Je scrute les environs et peut voir une longue pancarte avec écrit dessus <<Bienvenue au parc de millénium ». Il y a un parking tout près d'ici, une cabine dans la quelle un homme est endormi. Sa cabine est à côté d'une grande barrière ouverte et dans cette barrière, il y a des lampadaires qui éclaires et me permettent de voir les arbres, des buissons, des bancs de couleurs vertes.

Je peux voir un couple sur l'un de ses bancs s'embrasser.

Quoi ? Nous sommes dans un parc ? Pourquoi m'amène-t-il dans un parc celui-là?

- Tu viens ? Me demande-t-il avant d'avancer.

Je le suis. Ce parc est ouvert même la nuit ? Comment ça ce fait ?

- Tu sais où nous sommes n'est-ce pas ?

- Dans... un parc.

- T'es déjà venue ici ?

- Euh!!, je ne crois pas non !

- Attend, c'est ta ville natale ? Genre c'est ici que tu es née ou pas? Où veut t-il en venir celui-là?

- Vient en au fait. Pourquoi nous sommes ici ? Je te préviens, on n'a que cinq minutes ici.

Il ne répond pas et continue à marcher.

Oui, c'est ma ville natale et je ne suis jamais venue dans ce parc et alors ? Ma famille n'a jamais été du genre unis à un point de venir passer des journées dans un parc. Quand j'etait petite, on sortait et amuser, on faisait même des petits roadtrip, mais en grandissant tout avait changé. J'avais des amis, mais on n'allait pas dans ce genre d'endroits. Ont pouvaient aller dans des glaciers ou au cinéma et puis...j'ai jamais eu de petit copain pour m'y amener juste pour le plaisir.

C'est la première fois que je viens dans un parc comme celui-ci. C'est honteux, je sais, telle est ma vie de prisonnière.

Ça fait deux bonnes minutes que nous marchons, entourée d'arbres plus grands les un que les autres. Je lève la tête, et sur ses arbres j'aperçois un écureuil qui nous scrute de l'autre cote un oiseau qui n'arrête pas de picorer sur le tronçon à vive allure. Il fait un peu sombre là-haut, donc je ne peux pas bien voir ce qui se passe.

En levant la tête pour voir le ciel, je vois un hibou en pleine vole avant de venir se déposer sur un arbre, puis il fait des hululements. Ses animaux m'ont toujours fait peur, ils ont des grands yeux étranges et sont si mystérieux. Devant nous, encore des buissons et des arbres, mais à côté, un peu plus loin, je vois une sorte de tente et dessous, un grand banc et des petites tables, illuminer par un lampadaire. Ça pourrait être un joli endroit pour picniquer.

L'endroit en journée

L'endroit en journée

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