III

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Camilla
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*BIP BIP*

Il est 8h quand mon réveil sonne, j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir violemment.

Mais qui a mit un réveil à cette heure ci ? Si ce n'est pas moi c'est forcément Noah.

Il commence déjà à m'énerver.

- Debout c'est l'heure, dit-il d'une voix rauque.

- Mais il n'est que huit heure ! Hors de question, laissez moi dormir ! Soufflai-je à moitié endormis.

- J'ai dis debout, qu'est-ce que vous comprenez pas là dedans ? Dit t'il en marchant puis en balançant la couette de mon lit au sol.

De peur je me réveille rapidement et me mets dans un coin de mon lit, me recroquevillant sur moi même.

- Sors de ma chambre ! Hurlai-je.

Il se mets à sourire.

- On va pas recommencer à se tutoyer si ? Demande t'il avec un sourire en coins.

Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle.

- Sortez de ma chambre tout de suite, espèce de pervers. Chuchotai-je visiblement pas assez bas.

Il a entendue ce qui le fait serrer les poings.

Il monte sur mon lit et s'accroupi pour arriver à ma hauteur.

Je tourne la tête, je ne veux pas le regarder mais il prend ma mâchoire avec son pouce et son index, il l'a serre très fermement, il me fait mal.

- Ne m'appelle plus jamais comme ça, t'as compris ? Dit-il à mon oreille.

D'énervement je lui donne un coup de pied dans l'entre jambe, il grimace et pose sa main sur ses partis intime sans me lâcher pour autant. Je n'ai pas dû frapper assez fort.

Il me prend cette fois par la gorge et me plaque contre le mur juste à côté du lit. Nos visage était plus qu'à quelque centimètre l'un de l'autre, ce qui me dégoûtez.

Je veux tourner la tête mais avec son autre main il me force à le regarder.

- Regarde moi quand je te parle cagna ! Cria-t-il.

Je rêve ou il vient de m'insulter de salope ? C'est toi le salaud.

- Lasciami andare, mi stai facendo male. (Lâche moi tu me fais mal.) ai-je dis les larmes aux yeux.

- Pregami. (Supplie moi.) Dit t'il avec un sourire en coins.

Je rêve ? Il a cru j'étais sa chienne ? Je me mets à rigolais difficilement, ce qui l'énerve aussitôt et ce qui le fait serrer encore plus fort sa main autour de mon cou.

Ces yeux sont plongés dans les miens, mais je ne vois presque plus rien car mes yeux sont remplis de larme, je vois flou.

- Tu peux toujours rêvé si tu penses que je vais te supplier, dis-je en souriant avec les larmes aux yeux. 

Il sourit légèrement avant de me lâcher.

- J'aime bien les femmes avec du caractère.

Mes poumons sont compressés, l'aire ne passe plus, je me mets à tousser pendant cinq bonne minute.

Pendant que lui il me regarde, limite entrain de m'étouffais.

- Quando avrai finito il tuo cinema, scenderai a pranzo. (Quand tu auras fini ton cinéma, tu descendra déjeuner.) Dit-il en descendant de mon lit.

𝐈 𝐜𝐚𝐫𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢 𝐧𝐞𝐦𝐢𝐜i Où les histoires vivent. Découvrez maintenant