IV

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Camilla & Noah
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Il est 20h, et Noah est sortit sans me dire où il allait ni ce qu'il allait faire.

Je me retrouve donc seule. Pour me sentir moins solitaire je décide de mettre une série cinématographique américaine, qui n'est d'autre que « Mission impossible ! »

Puis les heures tourne et toujours pas de Noah.



20h30...



21h00...



21h30...



22h00...



22h30...


Toujours rien, je n'ai pas son numéro rien, je suis inquiète, mais d'un côté je ne devrais pas l'être je ne le connais pas et ce sont ses affaires pas les miennes, je crois que j'ai un trop bon coeur.

Mais si je dois travailler avec lui, j'aimerai bien savoir quand il sort et où il va.

Je décide donc d'aller me coucher pour oublier mon anxiété, puis je me dis qu'il sera là quand je me réveillerai demain.

Vers 3h du matin je suis réveillé par un gros boum, je me lève en sursaut face à ce bruit. Comme des portes claquées violemment. Je commence à paniquer, je n'ose pas bouger.

- Noah ? Noah c'est toi ? Demandais-je paniquée.

Soudain la porte de ma chambre s'ouvre.

Je ne voie rien il fait trop sombre, et je suis trop tétaniser pour allumer la lampe sur la table de chevet, j'entend quelqu'un se déshabiller.

Je panique vraiment, ma respiration devient de plus en plus irrégulière, une boule au ventre s'installe.

- Noah dimmi che sei tu! Non è divertente ! (Noah dis moi que c'est toi ! C'est pas drôle !) Dis-je les larmes au yeux, et la voix tremblante.

Puis la lumière de ma table de nuit s'allume. Je vois Noah, il n'a plus de t-shirt, seulement un pantalon.

Il est incroyablement beau, il a un tatouage juste en dessous de sa clavicule il y a marqué « Bruder » mais je ne sais pas ce que ça veux dire, ce n'est pas de l'italien.

Il a plusieurs autres tatouages sur les bras, ce sont des têtes de personnes.

J'ai remarqué qu'il a aussi pas mal de cicatrices, sans m'en rendre compte je lui touche, et l'examine de haut en bas.

Ces iris noir posés dans les miennes me font frissonner, elles sont tellement puissantes. Je ne vois aucune émotion en lui, parfois je me demande si il en a.

Mais je suis heureuse de savoir que c'est lui et pas un cambrioleur ou autre. Je reprend mes esprits rapidement quand il me coupe.

- Stai attento a sbavare. (Fait attention tu baves.) Dit-il en essuyant le coin de ma bouche avec son pouce.

Je repousse sa main violemment.

- Où était tu passer ? Demandais-je froidement.

- Quelque pars...ça ne te regarde pas, Souffle t'il.

- Vous avez raison je m'en fou de savoir où vous étiez.

- Il faudrait savoir, on se tutoie ou on se vouvoie ? Demande t'il simplement.

𝐈 𝐜𝐚𝐫𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢 𝐧𝐞𝐦𝐢𝐜i Où les histoires vivent. Découvrez maintenant