XVI

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- C'est d'accord, dis-je dans le dos d'Antonio.

Il se retourne surpris de ma réponse et un grand sourire apparaît sur son visage.

- Super ! J'imagine qu'on doit préparer une réunion ? Demande t'il en souriant.

- Oui dans 30 minutes, j'ai besoin de prendre une douche, dis-je en repartant.

Il fait un hochement de tête et se dirige vers mes hommes pour leurs annoncer, je m'arrête instantanément en les voyants sourire et se taper dans les mains.

Donc Camilla est si importante pour eux ? Me demandais-je.

Un timide sourire apparaît sur mon visage avant de me diriger dans ma chambre.

- Bien, par où commencer...dis-je en m'adossant sur la table derrière moi.

Tous les hommes sont assis sur de long canapé à me regarder en attendant que je dise les règles, mais rien ne sort, je suis perdu.

Antonio se lève pour venir se placer à côté de moi et prend la parole en posant une main sur mon épaule.

- On a parler de la mission avec votre chef tout à l'heure, et pour commencer Noah et moi nous resterons dans la salle principale, à surveiller les moindres fais et gestes de Marso et de ses hommes, dit-il simplement.

- Exactement, dis-je en reprenant la parole, Enzo et Alessandro vous serez chargé de faire diversion pendant ce temps avec Antonio nous partirons récupérer Camilla mais pour ça nous avons besoin de Lorenzo et Matteo, à ce moment là mes traits se froncent en prononçant son prénom.

- Et nous servirons à quoi ? Demande t'il froidement.

- Tu peux me laisser parler stronzo? (Connard).

Il hoche la tête et je reprend :

- Bien, comme vous êtes assez fort en informatique vous devrez pirater leurs cameras de surveillances pour nous indiquer le chemin vers Camilla, inteso? (Compris), et une fois que nous l'aurons récupéré Lorenzo j'ai besoin que tu ailles chercher Alessandro et Enzo.

Il hoche la tête et se tourne vers Lorenzo avant de lui adresser un sourire, mais celui-ci lui lance un regard froid.

Un sourire sarcastique se dessine sur mes lèvres et je me retourne vers Antonio.

- Merci d'avoir prit la parole.

- Y'a pas de quoi, mais reprend toi sincèrement, on aura besoin de toi plus que jamais pour cette mission, dit-il en me tapant l'épaules d'un geste amicale.

Je lui fais un hochement de tête puis part en direction de mon bureau.

Camilla :

J'ai trop mal au bras, cela fait maintenant 3h que je suis attaché, je crois...

J'ai l'impression que mes épaules vont me lâcher, comme si elles allaient casser, vous voyez ce que je veux dire ?

C'est comme ci on tirait sur votre bras et que vous sentez un craquement puis que ce dernier bouge et vous pensez qu'il va ce casser.

On me sort de mes pensé lorsque j'entends une porte s'ouvrir et des bruits de pas s'approcher, je sais que c'est lui. Je crains de ce qu'il va me faire mais je suis prête à tout encaisser.

- Alors, comment va ma principessa...dit-il en ouvrant la cellule.

- Je t'ai déjà dit d'arrêter de m'appeler comme ça ! Crachais-je.

𝐈 𝐜𝐚𝐫𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢 𝐧𝐞𝐦𝐢𝐜i Où les histoires vivent. Découvrez maintenant