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Quelques heures après la visite dans le bureau de mon « père » nous sommes remonté et il m'a rattaché à mon lit.

Mais il est ressorti aussitôt qu'il est rentré et c'est un autre homme qui me surveille, au final je préfère quand c'est Léo. Je me suis habitué à ça présence contrairement à celui-ci qui est nouveau pour moi.

Je fus sortit de mes pensées quand quelqu'un toqua à la porte, l'homme se leva et ouvra la porte.

- Je viens la chercher, dit Léo.

Oh non, le tatouage...

Ce dernier hoche la tête avant de me détacher et de me donner à mon garde du corps.

- S'il te plaît Léo, les laisses pas faire ça. Tu sais très bien qu'un tatouage c'est pour la vie ! Dis-je en me débattant.

- Je n'ai pas le choix Camilla ! Crie t'il froidement.

Il me tenait par le bras et j'essayais de me débattre le plus que je pouvais, il ne pouvait pas faire ça. Je ne leur pardonnerai jamais !

Nous arrivons devant une porte et il l'ouvre, de longues marches descendent dans l'obscurité.

Une cave.

Soudain mon coeur s'emballa et ma respiration devinrent irrégulière en repensant à ce qu'a fait Noah la dernière fois. Les larmes montèrent et j'hurle et me débattant le plus que je peux.

- Non ! Pas la cave, je t'en supplie !

Il ne réagit pas et une fois descendu il m'attache les mains en hauteur.

- Je vais t'injecter un anesthésiant, ça m'empêchera que tu bouges. Et tu ne souffrira pas, dit-il en prenant le matériel nécessaire.

- Je vous détestes tous, vous êtes que des grosses merde ! Crachais-je.

- Dis ce que tu veux, je m'en fiche, souffle t'il.

Il s'approche de moi avec une piqûre et me l'injecte dans le bras, mes yeux s'élargissent face à la violence de son geste et une larme dévale ma joue sans que je m'en rende compte. Puis petit à petit mes yeux se ferment.

Noah :

Plus que quelques minutes avant le départ, nous vérifions les dernières armes et munitions avant de partir.

- Vous êtes prêt ? Demandais-je en me tournant vers Marso.

Il hoche la tête ainsi que ses hommes, je me tourne vers les miens et ils font de mêmes.

- Bien, on se mets par groupe et c'est partit.

Je me dirige vers ma voiture accompagné de Antonio, Marso et Lukas un des hommes a mon demi-frère.

Tandis que le reste de mon cartel part avec leurs équipe destiné.

C'est très étrange de faire équipe avec lui, nous n'en avons jamais eu l'occasion. On a jamais eu confiance l'un en l'autre donc on pouvait pas collaborer ensemble.

Je le déteste et j'ai fais de mes hommes sont ennemis.

Sur la route je ne fais que penser à Camilla, j'espère qu'il ne lui on rien fait sinon je me ferais un plaisir d'en tuer plus d'un.

Mais cela déclarera une guerre et ce n'est pas le but.

Vingt minutes plus tard nous sommes presque arrivé mais je décide de me garer à 30 mètre du cartel pour être sûr d'atteindre les lieux en toute discrétion.

𝐈 𝐜𝐚𝐫𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢 𝐧𝐞𝐦𝐢𝐜i Où les histoires vivent. Découvrez maintenant