VII

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- Tu as raison, je suis désolé.

Je me contente juste de lui faire un sourire ne sachant pas quoi dire.

- Bon, je vais te laisser te reposer Camilla, dit-il en ouvrant la porte.

- Merci.

Il ferme la porte derrière lui et je me dirige dans mon lit, je suis vraiment fatiguée par ses événements.

Je me réveille par mon propre crie, pourquoi je fais tout le temps ce même cauchemar ? Il me hante, et rien ne peux l'arrêter.

Je crois que j'ai réveillé Noah car j'entends la porte s'ouvrir lorsque des bras m'encercla, de peur je le repousse de toutes mes forces en me débattant.

- Non laisse moi ! Hurlais-je en panique.

- Camilla c'est moi, c'est Noah, principessa, dit-il en allumant la lumière.

- Justement c'est toi ! Criais-je en reculant au bout du lit.

- S'il te plaît, calme toi, je ne vais rien faire, dit-il en tendant ses bras.

A cause de ce qu'il m'a fait cela a fait ressortir les pires souvenir de mon enfance que je pensais avoir enfouis depuis longtemps...

Je ne veux pas qu'il reste là mais je sais que si je dors seule ce cauchemar va revenir encore et encore. Ce que je vais faire je le fais pour ma santé mentale et non pour satisfaire ses désirs.

Je me rapproche de lui lentement et me pose dans ses bras en plaçant ma tête dans son cou. Je ferme les yeux pour laisser place à la fatigue.

Je le sens se lever et il commençait à partir lorsque je l'attrape par le poignet.

- Reste. Dis-je d'une voix fatiguée.

- Je ne peux pas Camilla. Je suis désolé. Dit-il en partant.

- Per favore. Dis-je d'une voix épuisé. Altrimenti chiamo Matteo. (Sinon j'appelle Matteo) Chuchotais-je avec un petit sourire en coin.

Puis d'un seul coup aucun bruit lorsque je sens quelqu'un se placer à côté de moi, je me retourne et place ma tête dans son cou, c'est Noah.

- Tu sens bon. Dis-je en dormant.

- Dors, principessa. Dit-il en ignorant mon compliment.

Mais son odeur m'a réveillé et je n'arrive plus à dormir.

- Non voglio più dormire. (Je ne veux plus dormir) Dis-je en le regardant.

Il baisse la tête et me regarde, on ne se lâche pas du regard, ces yeux ont changés, je n'arrive pas à savoir ce qu'il ressent mais je sais qu'il est calme, pour une fois.

- Et qu'est-ce que tu veux faire ? Souffle t'il.

Ces iris descende jusqu'à mes lèvres et les miennes aussi, je m'approche de son visage, nos lèvres étaient plus qu'à quelques centimètres.

Il place des cheveux derrière mon oreille d'un geste affectueux et pose sa main sur ma joue.

Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Après ce qu'il m'a fait, pourquoi il m'attire autant ? Ce n'est qu'un manipulateur. Je vais rentrer dans son jeu.

𝐈 𝐜𝐚𝐫𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢 𝐧𝐞𝐦𝐢𝐜i Où les histoires vivent. Découvrez maintenant