PS : Je t'aime maman

27) 6 mois plutôt

La journée du lendemain passa à une vitesse fulgurante. Après avoir visité l'île de Saint Calma Island nous avons eu une session d'écriture de 3h émerger dans l'eau. Elle c'est faite sur une plage privée où les tables et les chaises se trouvais au milieu de l'eau. Il fallait y entrer pieds nu et tout simplement profiter de la vue que le lieu nous offrait et des vagues qui dansait sur nos pieds, le tout en pratiquant nos activités respective dans une ambiance chaleureuse.
Pendant ce voyage j'ai fait la connaissance de Seo-u. Elle vient d'un lycée à 2h du notre, elle du quitter son pays en guerre et ses deux parents journalistes sont ses models pour son ouvrage qui porte sur un collage qu'elle est en train de compléter. Elle m'a monté comment filtrer des photos directement sur la caméra et ma laisser prendre de jolie photos du paysage. J'ai soudainement eu une idée et est décidé de rejoindre Samarah qui ramasser des coquillages. Je lui attrape gentillement le bras et lui demande de me suivre. Elle me regard d'abord se demandant ce que j'avais en tête puis accepte finalement. Je place mon bras dans son dos elle me regard étonné et je pointe Seo-u du doigt tout sourir. Elle comprend la situation et pose pour la caméra avec moi. Nathan et Malcom nous rejoignent et nous prenons des photos tout les quatre. Nous en prenons une dernière avec Seo-u qui avait pas mal hésité avant d'accepter se sentant mieux derrière que devant la caméra avant de retourner à l'hôtel.

En rentrant nous on vous décidé de mettre en commun ce que nous avions préparé plutôt pour finalisé les 3 premier chapitre. Une fois fini Samy et Nath sors de la chambre mais je decide de massoir sur le lit de Malcom sous le regards de Samarah. Elle me sourit tristement avant de sortir à son tour. Côme lui, écrivait encore dans le petit cahier, n'ayant pas l'aire de remarqué ma présence. Je fixe son dos, courbé vers le bureau, qui se contracte sous le mouvement de son poigné qui valse, sur la feuille, crayon en main. Je m'approche de lui et me penche par dessus son épaule. Il a une jolie écriture cursive, stricte et régulière. Elle lui va comme un gant, son écrit est parfait, il ne raye jamais, ne fait pas non plus d'erreur d'orthographe et utilise visiblement toujours les mots juste pour décrire ses idées. Une mèche de mes cheveux glisse le long de son épaule, il lève la tête et me regarde enfin. Il ne relève pas le fait que je l'observais et me demande directement :
- J'peux faire quelque chose pour toi ? J'en est pour deux seconde.
- Oh, hum pas vraiment je voulais juste te parler.
Il arque un sourcil, tourne sa chaise, fini par ce levé et s'assoit sur un des deux lits avant de m'inviter à faire de même. Je tortille mes cheveux me demandant comment est ce que j'allais aborder le sujet. Je savais que c'était important, ma conversation avec Samy me l'avais confirmé.
Il attrape ma main qui triturait mes cheveux dans la sienne, sa douce main, qui, en re dessinant les traits de ma main de son index, me fait complètement oubliée ce que j'étais venue faire ici.
- Tu voulais me parler Aly ?
Je sors de mes rêveries lorsqu'il fini par la lâcher, je replace ma mèche de cheveux derrière sentant mon visage chauffé à l'idée de ce que j'allais dire.
- Quand on était chez ma mère, je fixe le sol incapable de le regarder aillant conscience que mon visage devais être rouge de honte, tu a dis que, je replace mes lunettes sur mon nez, que, hum enfin ce que je veux dire c'est que tu devrais, mieux choisir t'es mots.
Les yeux plongés dans les miens, Côme me regarde perplexe.
- Qu'est ce que tu raconte Aly ?
Je me lève d'un bond sur le lit et agite mes bras dans tout les sens.
- C'est pas toi Côme, c'est moi ! C'est juste que tu as dit quelque chose d'assez ambiguë quand on était avec ma mère mais-
- Quelque chose ambiguë ? Il tourne la tête l'aire de réfléchir, Quand je lui ai dit que je t'aime ? C'était pas ambiguë, j'ai pensé chaque mot que j'ai dis.
Je ne savais ni quoi dire ni où le regarder pourtant ses yeux à lui était encore plongé dans les miens.
- Malcom, je ne comprends pas ce que tu veux dire par là... comment tu peux... Pourquoi ?
Il me regarde, comme si il ne comprenais pas ma question, comme si la réponse était juste devant lui, comme si la réponse était juste moi.
- Ce que je veut dire par là, il posa délicatement ses lèvres sur mes mains, c'est que te voir sourire agit comme un miroir sur moi, te voir près de moi me rend instantanément heureux. Que je ferais tout pour tes beau yeux bleu et que j'aime me noyé dans ton regard océan. Que j'aimerais te dénouer de tout t'es problèmes et les confronté à ta place. Quand j'ai dit que je t'aime, je voulais dire par là que je suis amoureux de toi Allysone.

Quand il c'est confié à moi j'étais déstabilisé et déboussolé à la fois. Jamais on ne m'avais dit qu'on m'aimais et surtout pas comme ça. Il a dit qu'il n'attendait rien de moi. Et qu'il espérait que je ne voyais pas sa confession comme étant une épine dans notre amitié ou un poids qui m'obligeait à partager ses sentiments.
Quand je suis sorti sa chambre pour me diriger vers la nôtre j'avais peur à l'idée de te raconter comment les choses c'était passé par ce que j'étais persuadé que quoi que je fasse ou dise la conversation qui m'attendait dans la chambre serais difficile.