Dépendance

Chapitre 26

Logan

- J'aimerais te parler seul à seule, ma beauté. Dis-je.

La brune se lève du canapé et me suit en dehors de la pièce. Je lui prends la main et l'entraîne à ma suite. Nous pénétrons dans un bureau, composé d'immenses fenêtres, d'une cheminée, d'un bureau en chêne massif et d'un fauteuil en cuir noir positionné face au meuble. La salle dispose également d'un canapé assorti au fauteuil et d'une table basse en verre. A l'opposé de tous ces meubles se trouve un mini bar où diverses bouteilles d'alcool sont disposées çà et là.

Freya prend connaissance des lieux en silence. En se retournant pour me faire face, l'une de ses mains trouve refuge dans mes cheveux et les agrippe fermement en m'embrassant. Son baiser est un parfait mélange de passion et d'envie. Sa langue se fraie un passage entre mes lèvres, rejoignant sa jumelle et s'élançant toutes deux dans une danse endiablée.

Je l'allonge sur le meuble derrière nous et lui retire son string en remontant sa robe sur ses hanches. J'écarte ses cuisses et me positionne entre elles pour lécher son sexe luisant de cyprine. Son goût est divin... Je ne me lasserais jamais de cette femme et de ses cris de plaisir. Elle est mon fantasme. Qui l'aurait cru qu'un criminel et un drogué comme moi pouvait plaire à une personne comme elle. Pour moi, cette délicieuse créature qui s'offre à moi est une vraie déesse.  

Je suis tout simplement fou d'elle...

Ma langue explore chaque recoin de son intimité, alternant entre vitesse et lenteur. Ce petit côté imprévisible de ma douce torture lui fait totalement perdre la tête. La brune tremble et pleure d'excitation, me montrant à quel point elle est réceptive à ce genre de caresse érotique. J'aime voir l'effet que j'ai sur cette femme... Freya gémit une nouvelle fois mon prénom et ma queue tressaute dans mon pantalon. Tout en continuant de la déguster comme le plus délicieux des mets, je commence à me toucher pour tenter de me soulager dans l'attente de pouvoir entièrement la posséder. Je joue avec son clitoris, effectuant dessus des petits mouvements circulaires. Elle se cambre en me suppliant de lui donner un orgasme. J'obéis et accélère le cunnilingus que je suis en train de lui faire.  

Lorsqu'elle éclate en poussant un cri d'extase, la jeune femme attrape ma cravate et tire dessus pour m'attirer au plus près de son corps. On s'embrasse, nous transmettant tout l'amour et le désir que nous ressentons l'un pour l'autre. Je lui retire ensuite complètement sa robe et l'oblige à me suivre à travers la pièce. Freya pousse un petit cri de surprise en sentant la fenêtre glacée contre ses tétons. En me plaçant convenablement derrière l'objet de mes fantasmes, j'écarte ses jambes à l'aide de mon pied et relève ses fesses vers moi. Je lui administre une bonne fessée en écoutant ses plaintes désespérées. Mon gland vient titiller l'entrée de son vagin, la frustrant davantage. 

J'entre en elle d'un coup sec, la faisant hurler de plaisir. 

Mon endroit préféré reste son sexe. Il est serré, chaud et humide. J'aime ne former qu'un avec cette femme qui est mienne depuis le début. C'est tout simplement parfait. En enfonçant mes doigts dans ses hanches, je mords son épaule en savourant la sensation que son sexe me procure. Sans jamais cesser de marteler son point G, ma seule préoccupation est de m'assurer de faire passer son plaisir avant le mien. 

Je veux qu'elle prenne son pied et je veux être le seul à pouvoir la posséder aussi bien physiquement que mentalement. Je souhaite qu'elle oublie tous ses anciens prétendants, - je dois être le seul - dans son esprit et dans son corps. 

- Putain, c'est tellement bon ! Continue, je vais jouir... Gémit-elle en se retenant contre la fenêtre pour conserver un semblant de stabilité.

- Je ne peux que confirmer, ma beauté. Je ne vais pas tarder à éjaculer... Tu es tellement serrée, bordel.  

Mes coups de reins deviennent brutaux, profonds et rapides. Je m'assure tout de même de ne pas la blesser en continuant mes va-et-vient, percutant de plein fouet cette zone sensible. Elle est prise de nombreux spasmes en laissant son second orgasme éclater. Je maintiens la vitesse de mes coups de butoir et finis par me déverser en elle dans un grognement guttural. 

- Nous risquons d'avoir une surprise dans neuf mois... Enfin, si tu continues de finir à l'intérieur.

- Je suis au courant. Mais tu ne peux pas m'enlever ce petit plaisir, ma beauté.  

Elle remet correctement sa robe et m'aide à ranger ma queue dans mon pantalon. Je glisse ma main dans ses cheveux et l'attire à moi pour l'embrasser en la serrant de mon bras libre.