quatorze.

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𝙹𝙾𝚄𝚁 𝟷0, 0𝟻.0𝟼.𝟸𝟹 ― 𝚃𝙾𝙺𝚈𝙾🪼

L U C A S .





❝ 𝕁e sens la main de Thao me caresser doucement la joue pour me pousser à me lever, mais malgré ses nombreuses tentatives en seulement quinze minutes, mes paupières restent lourdes et ne veulent pas s'ouvrir. C'est déjà la deuxième fois qu'elle essaye de me réveiller, et pour la première, c'étaient ses baisers qui m'ont sorti de mon sommeil. Mais honnêtement, je n'ai aucune envie de me mettre debout, ce lit est bien trop confortable, et il l'est encore plus quand la Japonaise est à mes côtés.





– Encore cinq minutes Thao ... je marmonne pendant qu'elle me caresse la joue

– Ça fait vingt minutes que tu me dis ça. elle rit Il est déjà tard et si on ne part pas d'ici une heure ou deux, on n'aura pas le temps de profiter de notre après-midi.

– Il est quelle heure ? je demande en me rappelant que la Japonaise nous a prévu tout un programme pour cette après-midi

– Plus de midi.

– Déjà ? Le temps passe trop vite. je souffle en tirant légèrement sur sa main libre pour l'attirer contre moi

– On aurait peut-être dû dormir un peu plus cette nuit. rigole Thao en s'installant contre moi, sa tête sur mon torse nu et j'entoure mes bras autour de ses épaules pour la rapprocher de moi

– Je n'ai aucun regret et je recommencerais toutes les nuits s'il le faut. je réponds avant de déposer un bisou sur son front

– Moi aussi. elle me sourit Honnêtement, je n'aurais jamais cru que notre relation prendrait une telle tournure quand on s'est rencontré. Mais si j'avais su que le mec tout perdu en arrivant à Tokyo était en réalité un vrai emmerdeur, je me serai un peu plus méfiée. pouffe-t-elle

– Je n'aurais jamais cru tomber raide dingue de quelqu'un en venant ici. Ce n'était pas du tout dans mes plans, mais j'ai su dès l'instant où je t'ai vu que tu ne me rendrais pas indifférent, avec ta frange, ta coupe au carré et ton air moqueur. Heureusement qu'on est pas parti de ton restaurant comme le voulait Théo, ce jour-là. je commence, faisant abstraction de sa remarque, pendant que ses lèvres s'étirent un peu plus Ensuite, j'ai adoré ton sourire, tes beaux yeux noirs et le côté de toi qui n'a peur de rien. J'ai su que je ne pouvais pas te laisser filer.

– Moi, c'est ta joie de vivre qui m'a plu en premier. dit-elle un peu plus sérieusement en levant la tête pour me regarder dans les yeux J'ai adoré ton humour, ton sourire et tes fossettes.

𝒕𝒐̄𝒌𝒚𝒐̄ [𝒍𝒉]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant