57. saigne

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On était arriver à l'appartement du building depuis une heure il m'avais soigner on c'était pas adresser la parole depuis.

Il m'en voulais sûrement d'être partie.

Je sort de la douche efface la buée sur le miroir.

Je me sentait toujours aussi salle, je sentait toujours ces mains sur mon corps. Mes pleures le suppliant d'arrêter.

Les larmes coula j'enfile une culotte puis prend un de mes jogging noir et un sweat plus grand que moi révélant aucune partie de mon corps.

Je ne voulais que personne ne vois cette horreur. Surtout pas Dario il serait tellement dégoûter.

J'essuie mes larmes, coiffe mes cheveux les met sur les deux coter de mon visage et sort de la salle de bain.

Dario était dans la cuisine adosser à l'îlot central, l'appartement était plonger dans le noir, il avait seulement la lumière de la lune qui éclairer.

Il était au téléphone

-oui, il c'est rien passer..je pense pas..ne lui dit rien..ouais...salut.

Il raccroche, ma tête avec zéro énergie juste fatigué, ressentent que la voix dans ma tête.

Je passe à coter pour me faire un verre d'eau.

Je le bu et part dans la chambre je traverse le salon ouvre une porte, la chambre dans le thème de la couleur noir.

Les draps en sois noir, il avait une télé en face du lit avec derrière une grande fenêtre faisant tout le mur et un balcon qui donner vu sur les building.

Il avait une porte à coter de la télé qui menais au balcon, un tapi noir, et des rideaux noir transparent était sur les coter de la vitre.

A la droite du lit il avait une porte où il avait la salle de bain.

Je met ma capuche ferme les rideaux et me place dans le lit.

Pourquoi moi?

Je déteste mon corps.

Je ne veut que plus personne ne le vois ou le touche.

Je me déteste tellement.

T'aurais du te défendre, stupid

C'est ce que j'ai fait..

Tu la pas dit assez on dirais

Mais j'ai essayer..

Mais tu t'es louper.

J'ai fait de mon mieux..

Mais le truc c'est que tu arrive jamais a rien, t'es trop stupid pour ça.

J'aurais du faire mieux.

Mais oui.

Stupid.

Debile.

Grosse conne.

Je me tourna sur je le coter essayant de chasser les paroles de mon esprit.

Ta soigner ton père? Sérieux tu fait pitié

Mais c'est mon papa.

Un père ne ferait pas ça à sa fille réfléchie

Il était sous alcool, sa compte pas.

Entre les griffes de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant