46.pluie & l'orage

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Amelia me tira le bras de force puis me fait descendre dans la boite.

je suffoqua les gens dansais autour de moi, se qui me paniqua plus que je l'était.

-je..je veut sortir.

dit-je avec le souffle court, elle me pris et me sort de la boite l'air frais frappa sur mon visage.

-laisse moi..

-Lia-

-laisse moi, s'il te plaît..

elle décida de rentrer a contre coeur puis je me met plus loin sur le cote de la boite de nuits pour que personne ne me vois.

je me laissa glisser le long du mur ramené mais genoux a ma poitrine et je pleura.

j'arriver  peine a respirer la pluie commença a taper Ford contre le sol et sur moi, mes membres trembler de froid de panique .

mon genoux droit commença a tremble, j'en avait marre de tout ça.

quand l'inconnue me pris le coup cela me rappela Ian, mon père je voulais tellement le tuer pour se qu'il nous a fait a moi et a ma mère, mais je ne suis pas une meurtrière, c'est pas se que voulais ma mère et je le savais du plus profonds de moi.

un orage se mis a retentir je sursauta, la pluie devient de plus en plus ford, je décida de me levais   et de marcher, ou je ne sais pas, mais je le faisait.

je marcha sur la route tremper en espérant ne pas tomber sur une personne, je pris alors un chemin ou personne n'y aller puis je me retrouva sur une route avec des arbre.

l'orage et les arbres était pas vraiment amie, mais au pire c'est pas si grave..

je marcha en pleurant, tout était de ma fautes depuis le début, tout absolument tout, jetait épuisait mentalement même physiquement et tout le monde le remarquer.

jetait a bout de tout, je voulais en finir mais je ne voulais pas car ma mère ne voudrais pas ça.

Maman, si seulement tu serait encore la, tout serait différents..

je decida de m'arrêter de marcher et de m'assoir sur le bord de la route.

je plongea ma tête dans mes bras et pleura encore et encore, je comprends pas..

enfaite si je comprend absolument tout, tout était de ma fautes, je suis tellement debile

de pensais que tout allais s'arranger, j'ai bien rêver.

la pluie qui tomba mais jambes on pris l'habitude du froid de la pluie, je vis les fard d'une voiture au loins, s'approcher de plus en plus de moi, je ne voulais pas levais la tête, je ne voulais pas.

le moteur s'arrêta et j'entendis la portière se refermer, et des pas se rapprochais de moi.

puis plus rien, c'était comme si il était devants moi figée.

-Lia..

je leva les yeux et je vis Dario tremper avec une veste a la mains, ses cheveux qui tomba sur le devants, qui goutta avec la pluie.

-laisse moi.

je remetta ma tête dans mais bras.

-aller viens.

il mis la veste sur moi.

-c'est de ma fautes..laisse moi.

il se mis a cote de moi puis pris ma tête pour la pose sur son torse il reposa la veste sur mes épaules.

-rien n'est de ta fautes.

-si..tout tout et de ma fautes.

ma mains se posa sur son torse, sa mains viens se posa sur mes hanche, comme pour me faire un câlin.

Entre les griffes de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant