Entre les griffes de la mafia

63. Purrement professionnel

Nos bagages prêt, on les mets dans le coffre du chauffeur personnel de Dario. Amelia et Elias était dans une voiture qui nous suivait derrière.

J'avais tout pris, même si il m'a prévenu plusieurs fois que tout allait être la bas à « mes goûts » j'avais peur de se qu'il pouvait me proposer mais bon, j'ai pas le choix je mettrait de qu'il aura.

Dario appuie sur un bouton qui montre une vitre noir tinter entre moi et le chauffeur privée de Dario.

Je ne le calcule pas, il m'avais cacher l'existence du jumeaux de William.

Enculé.

-tu me fait la gueule?

Je prend mon téléphone à la main toute en l'ignorant.

-Lia..répond moi

Souffle-t'il avec agacement.

J'aime jouer avec ça patience..

-putain répond moi..princesse..

Je me mordille l'intérieur de ma joue pour maintenir mon envie de rigoler à son nez.

Un peux de sérieux voyons..

Sa main agrippa violemment mon téléphone avant qu'il ouvre ça fenêtre et le gère par dessus ce dernier.

-mais t'es malade?!

M'exclame-ai-je en le tournant

Mon téléphone..

-je peux avoir ton intention maintenant c'est bon?

-va te faire foutre

Je croise mes bras sur ma poitrine en tournant mon regard vers ma vitre teinté noir.

Ça main se posa sur ma cuisse qui caresse.

-je voulais pas t'effrayer

-tu a empirer la situation à vouloir me protéger

-je le sais.. et j'en suis désolé mais comprend moi avoue tu aurait flipper

Tu marque un point

-je te connais comme personne ne peux te connaître, alors comprend moi

Je tourne ma tête vers ce dernier, il était si attirant..inaccessible..

Ces yeux.. ces lèvres tout était parfait..

-tu t'es bien renseigner

-j'aurais fait tout pour toi, mio amore

Ces paroles en italien.. oh putain..

Nos regard ensemble, sans parler rien du tout juste lui et moi dans un regard profond ne pouvant pas s'échapper du regard on était comme deux aimants.

-sei mia.

Une sensation dans mon corps née, je ne voulais enlever nos regard.

Je veux qu'il reste encrée pour toujours.

-nous sommes arriver Monsieur.

Il fit un rictus et détourne nos regard puis sort de la voiture je le suit.

Je prend ma valise dans le coffre, légère il m'avais dit de ne rien prendre mais j'en ai pris quand même.

Je fait ce que je veux.

En tout il avait que moi avec une valise, têtu que je suis.

-on arrive!

Amelia et Elias part je ne sais où.