Entre les griffes de la mafia

52.Bonne nuit princesse.

Je descend les escalier restant à la reception, je sorta de mon sac ma vantoline, faut dire j'en avais besoin après tout se qu'il c'était passer.

Pourquoi j'avais regis comme ça? Pourquoi mon corps le désirer? Dès question vaciller dans ma tête sans s'arrêter.

Je pris une boucher d'air frais de ma vantoline puis part rejoindre Amelia.

MERDE..Amelia sa carte

Je souffla.

La flemme de remonter les marches.

Je part alors sur l'ascenseur rentre dedans puis sélection l'étage.

Arriver à l'étage la porte de ma chambre était ouverte je me dirigea pour la fermer.

C'était sûrement à cause du vent.

J'entendais des gémissements sortir de la bouche de quelqu'un avant d'y entendre le nom qui restera à jamais dans ma tête.

-Sabrina..mhmm...

Je pencha ma tête puis je vis la femme de la réception entrain de se donner à

MON MERCENAIRE?

Aussi tôt quelle entendis mon prénom dans sa bouche la femme me regarda avec un sourire en coin avant qu'elle ne gémit.

J'en avait les larmes au yeux j'en savais même pas pourquoi, je ne l'aimer pas vraiment..

Rien que de voir ça bite dans le cul de cette..pute m'en donner la nausée.

Je recula, mais c'était même pas le fait qu'il était entrain de le faire avec une autre femme en criant son prénom qui me semblait bizarre.

Se qui me semblais le plus bizarre c'est mon sentiment que j'avais pourquoi était-je sur le point de pleurer?

J'ouvris la porte d'un coup le coupant dans son élan ces yeux s'écarquillent et la femme avec son sourire au lèvres.

-Va te faire foutre.

Puis je quitta la pièce j'entendais sa ceinture signé qu'il était entrain de se rhabiller.

C'est pas s'approcher de moi j'accélère le pas j'ouvre la porte avec la carte de ma meilleure amie va sur la table puis prend son téléphone avec les nerf qui brûler en moi.

-Lia..

-DÉGAGE!

Il avais son pantalon sans le haut laissant c'est abdo apparaître et ces tatouage.

-Lia c'est pas se que tu crois..

J'explosa.

-CETTE PHRASE PUTAIN ELLE VEUR DIRE TOTALEMENT LE CONTRAIRE ARRÊTE DE FAIRE COMME SI TU T'EN VOULAIS.

Je m'approche de lui lui saisie le menton son regard dans le mien.

-le pire.. c'est que t'es sobre.

Il était pas bourré, ni drogue.

-mais..

-SI TU LA FAIT ET QUE TU EST SOBRE C'EST QUE TU LE VOULAIS. PUTAIN.

une nausée se fait n'être je part dans les toilette avant de vomir, il m'avais suivie tenant mes cheveux puis frottant mon dos je retire sa main.

-Va-t'en.

-je te laisserais pas dans cette état.

-pourtant c'est toi qu'il l'a causer.

Il me donna une serviette je la pris me rinse la bouche avec de l'eau avant d'y faire un bain de bouche.

Mon mascara avait couler ne le regarda dans le reflet.